"S'allier à un industriel chinois est un choix stratégique, d’accès au marché et d’indépendance", assure le patron de Robocath
Dans un tour de table porté par le spécialiste des dispositifs médicaux chinois MicroPort, la pépite française Robocath a levé 40 millions d’euros pour développer ses solutions d’assistance robotique à la chirurgie cardiovasculaire. Philippe Bencteux, président et fondateur de l'entreprise rouennaise, explique à L'Usine Nouvelle les perspectives ainsi ouvertes.
Depuis un an, Robocath enchaîne les réussites. Après avoir levé 5 millions d’euros pour commercialiser sa solution robotique R-One, dédiée à la chirurgie cardiovasculaire, la start-up rouennaise (en Seine-Maritime) fondée en 2009 continue de croître.
Mercredi 29 avril, elle annonçait avoir levé 40 millions d’euros auprès du spécialiste des dispositifs médicaux chinois MicroPort (basé à Shangaï) et de quatre fonds d’investissement spécialisés en santé (Zhejiang SilkRoad Fund, TUS-S&T Service Group, CS Group et Anaxago). Entretien avec son président et fondateur, le médecin Philippe Bencteux, pour analyser cette dynamique.
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