Qui sont ces professionnels de l’industrie "En marche" pour devenir députés ?
Pour revivifier la politique, "La République en marche", le mouvement du président de la république Emmanuel Macron a investi une moitié de candidats issus de la société civile. Parmi eux des professionnels de l’industrie qui se lancent à l’assaut de l’Assemblée nationale et espèrent devenir députés. Inventaire non exhaustif
Il avait promis du renouvellement, il est là. Les investitures du mouvement d’Emmanuel Macron, "La république en marche" ont lancés dans la campagne législative de nombreux professionnels de l’industrie.
Les plus connus :
David Simonnet, le dynamique patron d’Axyntis, une belle ETI de la chimie fine dans le Loiret. Il a créé cette entreprise en 2007, après s’être occupé de fusions-acquisitions à la SNPE. Axyntis compte six usines, trois centres de R&D et environ 430 salariés. Il fait campagne pour la 5ème criconscription du Loiret
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Bruno Bonnell, le fondateur d’Infogrammes est à la tête de Robopolis et du fond d’investissement Robolution capital. Il pilotait l’un des 34 plans d’Arnaud Montebourg, est engagé auprès d’Emmanuel Macron depuis le lancement du mouvement. Il affrontera dans la 6 ème circonscription du Rhône l’ex ministre Najat Vallaud-Belkacem.
Corinne Versini, la fondatrice d’une société de de haute technologie Genes’ink qui travaille sur la formulation et la fabrication d’encres électroniques. Elle a créée son entreprise en 2000 et est très investie sur la dynamique économique territoriale. Elle est également au conseil d’administration de Pacte PME. Elle vise une circonscription âprement disputé à Marseille puisque c’est celle que se disputent Jean-Luc Mélenchon et Patrick Mennucci.
Alexandre Zapolsky, le patron et cofondateur de Linagora, société éditrice de logiciel libre présente en France et à l’étranger. Il était déjà investi dans l’instance professionnelle de son secteur comme membre du conseil du Syntec numérique. Son entreprise a de nombreux marchés avec l’administration. Ce toulonnais d’origine concoure légitimement dans une des circonscription du Var, la troisième.
Mounir Mahjoubi, l’ancien président du Conseil national du numérique fait partie de la garde rapproché d’Emmanuel Macron. Il a travaillé dès 16 ans chez Club internet en parallèle de ses études, a cofondé la société Equanum, détenant la marque commercial "La ruche qui dit oui" en 2010. Il était directeur général adjoint de BETC digital de 2013 à 2016. En 2016, il fonde French Bureau, une start-up qui vise à accompagner les grands groupes dans leur démarche d’innovation. Il affrontera dans la 16 éme circonscription de Paris le premier secrétaire national du PS, Jean-Christophe Cambadélis.
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Au-delà de ces figures, nous avons aussi repéré Amal Amélia Lakrafi, fondatrice de la société de cybersécurité Azguard, Jean-René Cazeneuve, DGA de Bougues télécom, Jean-Marc Zulesi, chef de projet chez Mirion Technologies, Thomas Gassiloud, dirigeant de Wibox (services web en zone rurale), Pascal Chamassian, responsable de communication chez Orange, Huguette Tiegna, ingénieur aéronautique chez Whylot, Didier Baichère, DRH chez Akka Technologies, Romain Gruau, PDG de EAS industries (maintenance aéronautique) ...
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