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Pourquoi l’Etat soutient bien les commandes export d’Airbus... mais ne met pas vraiment 3,5 milliards d'euros sur la table
Pourquoi l’Etat soutient bien les commandes export d’Airbus... mais ne met pas vraiment 3,5 milliards d'euros sur la table
Soutenir les industriels de l’aéronautique en volant au secours de ses clients, c’est le principe du dispositif de soutien à l’assurance-crédit export du plan aéronautique. C’est clé pour que les commandes d’Airbus ne s’effondrent pas avec la déroute des compagnies aériennes. Mais comment fonctionne le mécanisme et entraîne-t-il tout de suite une dépense de 3,5 milliards d'euros de l’Etat, comme l’affirmait Bruno Le Maire dans la présentation du plan de soutien annoncé le 9 juin ? Pas franchement.
Mis à jour
12 juin 2020
Lors de la présentation du plan aéronautique, le 9 juin, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a réaffirmé, le rôle clé de la filière. Pas question de voir s’écrouler une des industries d’excellence de la France et surtout ses 34 milliards d’excédents commerciaux. Pour cela, il faut soutenir non seulement les industriels français et en particulier sa tête de pont Airbus, mais surtout ses clients : les compagnies aériennes.
Ce sont elles qui sont touchés de plein fouet par l’écroulement du trafic aérien. L’idée est donc de sécuriser leurs trésoreries et d’assurer une continuité du financement des avions. Comment le système va-t-il marcher? L’Etat va-t-il mettre directement de l’argent sur la table comme l’a affirmé Bruno Le Maire, en parlant de 1,5 milliard d'euros pour un moratoire de remboursement et de 2 milliards d'euros pour une hausse des garanties de Bpifrance assurance export et un report des remboursement à 18 mois? Ce n'est pas le cas.
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