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Alors que le statut du LFB, un des plus gros laboratoires biopharmaceutiques français et le seul détenu par l’Etat, est débattu devant le Sénat dans le cadre de la loi Macron, son PDG, Christian Béchon, a écrit une Lettre ouverte aux Parlementaires pour mettre fin à la confusion. Cette loi est nécessaire pour l’avenir de son groupe, et notamment le financement d’une nouvelle usine, explique t-il dans un texte publié par L’Usine Nouvelle.
"La société anonyme dénommée LFB exerce des activités de recherche, de production et de commercialisation de médicaments à usage humain et notamment des médicaments dérivés du sang, des médicaments susceptibles de se substituer aux médicaments dérivés du sang et des produits de santé issus des biotechnologies. Son capital est détenu en majorité par l'Etat ou par ses établissements publics." C'est ainsi que le code de santé publique définit aujourd’hui le LFB.
L’article 48 du projet de loi dite Macron propose de faire évoluer le texte législatif sur la composition de l’actionnariat du LFB en intégrant simplement les organismes publics dans le libellé actuellement en vigueur. Cette modification a pour objectif de permettre de faciliter le financement des projets de l’entreprise. Et nous en avons besoin.
Financer une nouvelle usine de plasma avec la loi Macron
Détenu par l’Etat français, le LFB (502 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014) conçoit des médicaments issus du vivant pour des maladies graves, qu’il produit dans ses cinq sites de bioproduction, dont deux dédiés aux traitements dérivés du plasma. L’ouverture de son capital à la BPI, qui est actuellement débattue au Sénat, permettrait notamment de financer une nouvelle usine de plasma en France pour le LFB, avait expliqué le ministre de l’Economie Emmanuel Macron en défendant son projet de loi devant les députés. Car cela représenterait un investissement de près de 300 millions d’euros.
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Car le LFB est une entreprise. Une entreprise publique qui réussit dans un secteur stratégique d’avenir, les biotechnologies. Vingt ans de travail ont permis au LFB de devenir un champion français dans le domaine des médicaments issus du vivant.
Le LFB, ce sont 2000 salariés qui travaillent dans un groupe biopharmaceutique français performant économiquement dont les médicaments traitent des centaines de milliers de personnes chaque année pour des maladies graves et souvent rares. Le LFB, c’est aujourd’hui cinq sites de production dont quatre en France spécialisés dans les médicaments issus du vivant à la pointe de la technologie.
Le LFB a des perspectives de croissance importante grâce à son internationalisation et il a besoin de financer les outils industriels de son développement notamment une grande usine de nouvelle génération dans le nord de la France.
Permettez seulement à ce champion français de rester dans la compétition, le reste nous nous en chargerons avec une grande fierté.
Christian BECHON
Président Directeur Général du LFB
Les avis d'experts et points de vue sont publiés sous la responsabilité de leurs auteurs et n’engagent en rien la rédaction.
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