Performances, coût, durabilité... Sur quoi va travailler la fédération de recherche hydrogène du CNRS
Inaugurée mardi 9 mars, la fédération de recherche hydrogène du CNRS rassemble plus de 270 chercheurs dans 28 laboratoires. Présente sur toute la chaîne de ce nouveau vecteur énergétique, elle travaillera dans ses labos et aux côtés des industriels pour faire sauter les verrous qui bloquent encore l’émergence de la filière.
Aucun opportunisme mais “un alignement des planètes”, assure le PDG du Centre national de recherche scientifique (CNRS) Antoine Petit. Si depuis plusieurs mois, l’hydrogène occupe le devant de la scène, notamment à la faveur des plans de relance, une Fédération de recherche hydrogène (FRH2) a été inaugurée le mardi 9 mars. Le projet rassemble plus de 270 chercheurs permanents (et autant de doctorants et post-doctorants) dans 28 laboratoires du CNRS. Une force de frappe qui trouve son origine dans la structuration, il y a une vingtaine d’années, d’une première communauté de recherche du CNRS (un GdR) sur la petite molécule aux grandes promesses énergétiques.
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