Le CNRS se met aux qubits nanomécaniques
Après les qubits supraconducteurs de chat ou à base d’atomes froids, un nouveau type de bit quantique fait son apparition : le qubit nanomécanique. Développé par le laboratoire CNRS Ondes et matière d’Aquitaine, il se base sur la fréquence des oscillations d’un nanotube de carbone – que l’on peut se représenter comme un élastique de quelques microns de longueur – pour représenter un état quantique.
[...]Cet article est réservé à nos abonnés L'Usine Nouvelle
Soutenez un journalisme d'expertise.