La première blockchain de Suez est au service de l’économie circulaire
Le groupe Suez vient de lancer sa première blockchain pour faciliter le développement de l’économie circulaire. Elle concerne la valorisation des boues de station d’épuration comme solutions alternatives aux intrants chimiques et fossiles.
L’économie circulaire, ce n’est pas uniquement le recyclage et la réutilisation de matières plastiques et métalliques. Les boues issues des stations d’épuration sont aussi valorisables pour éviter de polluer les champs avec les intrants chimiques et fossiles (pesticides, engrais, phytosanitaires…). Aujourd’hui, en France, elles remplacent la production de 6 000 tonnes d’azote de synthèse et l’extraction minière de 8 000 tonnes de phosphore. Et pour accélérer le développement de cette filière nécessaire à la transition écologique de l’agriculture, les différents acteurs de la chaîne doivent pouvoir collaborer et s’assurer d’une traçabilité totalement fiable.
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