La fabrication additive métallique française unit ses forces de R&D
Le CNRS, le Cetim, les instituts Carnots et plusieurs organismes territoriaux spécialisés ont annoncé le 19 octobre mettre en place une stratégie de cohérence nationale visant à organiser la R&D menée sur la fabrication additive métallique. Le tout porté par un objectif central : assurer le transfert technologique jusqu'à l'industrie.
Pas de création d’une superstructure, pas de nouveau nom. Mais la mise en place d’une cohésion nationale. Le 19 octobre, des représentants du Centre technique des industries mécaniques (Cetim), du CNRS et de plusieurs organismes territoriaux spécialisés se sont réunis à Paris pour annoncer la mise en place d’une synergie nationale sur la R&D en fabrication additive métallique.
L’objectif ? « S’organiser pour faciliter les passerelles entre les différentes structures d’accompagnement existantes, tout en conservant l’agilité et la spécificité de chacune, présente Philippe Lubineau, directeur de la recherche et des programmes du Cetim. Cette organisation en réseau nous permettra de nous réunir souvent et de constituer une feuille de route commune pour éviter les redondances et faire converger des initiatives locales. » En ligne de mire, le transfert de nouvelles technologies à l'industrie.
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