Tout le dossier Tout le dossier
-
Economie numérique
French Tech, la fin des excès
-
Economie numérique
[La France du numérique] La Nouvelle-Aquitaine, dynamique malgré tout
-
Economie numérique
[La France du numérique] En Ile-de-France, la crise fait mûrir l'écosystème
-
Economie numérique
[La France du numérique] Dans les Hauts-de-France, les acteurs gardent le cap
-
Economie numérique
[La France du numérique] En Auvergne-Rhône-Alpes, une résilience offensive
-
Economie numérique
[La France du numérique] Dans le Grand-Est, des locomotives et des projets porteurs
-
Start up
[La France du numérique] En Centre-Val de Loire, la beauté plante des graines
-
Start up
[La France du numérique] En Bourgogne-Franche-Comté, un léger retard à combler
-
Start up
[La France du numérique] En Provence-Alpes-Côte d'Azur, un sens haut débit de l'opportunité
-
Start up
[La France du numérique] En Occitanie, l'emploi risque de décrocher
-
Start up
[La France du numérique] En Pays de la Loire, la tech dopée par la crise
-
Start up
[La France du numérique] En Normandie, la crise, même pas peur !
-
Economie numérique
[La France du numérique] Les pépites de Bretagne boostées par la pandémie... et les autres
French Tech, la fin des excès
Le confinement et la pandémie n’ont pas marqué un coup d’arrêt des levées de fonds. Mais les investisseurs financent en priorité les start-up les plus rentables.
Christophe Bys et Marion Garreau
\ 07h00
Contentsquare, Voodoo et Mirakl. Entre mai et septembre, ces start-up sont devenues les nouvelles licornes françaises, portant à dix le nombre de pépites tricolores valorisées à plus de 1 milliard de dollars. Qui l’aurait cru ! Alors que la crise sanitaire marque le début d’une crise économique sans précédent, certaines pépites de la french tech sont en pleine accélération. "Notre levée de fonds [256 millions d’euros, ndlr] n’était pas prévue avant la crise, mais notre volume d’activité a bondi de 111 % à la fin du premier semestre, explique Dickel Sooriah, le vice-président marketing pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique de Mirakl, qui propose des solutions de places de marché. Comme nous voulons être leader, nous avons accéléré notre développement et les investisseurs ont suivi."
Le confinement et la pandémie n’ont pas marqué un brutal coup d’arrêt des levées de fonds. Le baromètre publié par EY pour la 19e fois reflète un réel dynamisme du secteur : au premier semestre 2020, 360 opérations ont mobilisé 2,7 milliards d’euros. C’est un peu moins qu’en 2019 (2,79 milliards d’euros pour 387 opérations), mais beaucoup plus qu’en 2018. Surtout, entre janvier et juin, EY a recensé cinq opérations de plus de 100 millions d’euros. Guillaume Bonneton, associé de GP Bullhound, résume l’impression générale en égrenant les crises du XXIe siècle : "En 2000, le digital était le cratère. En 2008, il était la victime collatérale. En 2020, c’est la valeur refuge."
[...]Cet article est réservé à nos abonnés L'Usine Nouvelle
Soutenez un journalisme d'expertise.
VOS INDICES
source
7.3452 +0.35
01 Février 2023
Yuan chinois (CNY) - quotidien
¥ CNY/€
1.0894 +0.56
01 Février 2023
Dollar Us (USD) - quotidien
$ USD/€
129.6 +0.23
Septembre 2022
Indice mensuel du coût horaire du travail révisé - Salaires et charges - Tous salariés - Industrie manufacturière (NAF rév. 2 section C)
base 100 en décembre 2008
SUR LE MÊME SUJET
PARCOURIR LE DOSSIER