Comment l’université Paris sciences et lettres utilise les données de Facebook pour étudier la propagation potentielle du Covid-19
Le réseau social Facebook a annoncé le 6 avril le partage de données anonymisées avec des chercheurs du monde entier. Le but : analyser la propagation éventuelle du virus. En France, l’université Paris sciences et lettres (PSL), qui regroupe plusieurs écoles d’ingénieurs dont les Mines Paris Tech, planche sur ce projet.
Dans un billet publié le 6 avril, Facebook a annoncé son intention de partager certaines données anonymisées et agrégées de sa base d'utilisateurs. Ces informations relayées sous forme de cartographie permettront à des équipes de chercheurs “de mieux comprendre comment la dynamique des populations influence la propagation des maladies”, résume le réseau social. Cette coopération est une extension du programme Data for Good, lancé par Facebook en 2017 dans le but de fournir aux scientifiques, ONG et associations des quatre coins du globe des jeux de données pouvant leur être utile.
L’université PSL en première ligne
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