Le lancement prochain par le gouvernement d'une application mobile utilisant la reconnaissance faciale, appelée Alicem, afin d'accéder aux services en ligne de l'Etat, suscite craintes et critiques. Jérôme Létier, directeur de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) - en charge du projet et rattachée au ministère de l'Intérieur -, répond point par point à L'Usine Nouvelle.
Le gouvernement va déployer dans les prochaines semaines une application mobile d’identification basée sur la reconnaissance faciale. Baptisé Alicem, pour "authentification en ligne certifiée sur mobile", ce dispositif est considéré par certains défenseurs des libertés numériques comme un premier pas vers une reconnaissance faciale généralisée. Après l’annonce par Bloomberg d’un déploiement avancé à novembre, les réactions critiques et craintives se sont multipliées.
Manager de l'environnement de travail
16 mars 2021 - Paris
Contacté par L’Usine Nouvelle, le ministère de l’Intérieur a accepté de répondre à nos questions à travers la parole de Jérôme Létier, directeur de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), en charge d’Alicem et placée sous sa tutelle.
L'Usine Nouvelle.- Le déploiement prochain d’Alicem, basée sur la reconnaissance faciale, suscite des inquiétudes. Qui a développé cette application mobile et pour quel usage ?
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