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[Chronique RH] Laissez-moi mon bureau, mon mug et ma photo de vacances

Avec le déploiement du télétravail, nombreuses sont les entreprises à choisir ou à envisager un modèle d’organisation fondé sur des bureaux partagés. Une décision à prendre avec prudence, car les salariés semblent encore très attachés à leur bureau.

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Jonathan Grelier

11 avril 2022 \ 16h00

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Jonathan Grelier

11 Avril 2022 \ 16h00

[Chronique RH] Laissez-moi mon bureau, mon mug et ma photo de vacances — Selon l'étude de Steelcase, 10% des employés ont perdu leur poste attitré depuis la pandémie.

Ce n’est plus un secret. En élargissant l’accès au télétravail, la pandémie de Covid-19 incite les grands groupes, et plus généralement les entreprises, à repenser leur stratégie immobilière. Cette réflexion aboutit parfois à une mise en place du flex office, avec des bureaux partagés et non plus individuels. Selon une étude du fabricant de mobilier de bureau Steelcase, menée à l’automne 2021 dans 11 pays et auprès de 4 986 travailleurs, 10% des employés ont perdu leur poste attitré depuis la pandémie (8% en France, sur un échantillon d’environ 500 personnes) et même 15%, dans les grandes entreprises de plus de 10 000 salariés. Dans ce contexte, l’étude de Steelcase fait figure d’avertissement. Car les travailleurs semblent encore largement chérir leur bureau personnel.