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Décarbonation, innovation, industrie... Y voir clair dans les arbitrages sectoriels et financiers du plan France 2030 dévoilé par Emmanuel Macron
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SMR, hydrogène, acier vert… Ce que prévoit le volet énergie et décarbonation du plan France 2030
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Agro
Voici à quoi serviront les 2 milliards d'euros de France 2030 pour l'agriculture
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La France pourra-t-elle produire deux millions de véhicules électrifiés en 2030, comme le veut Emmanuel Macron ?
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Économie
Décarbonation, approvisionnements, numérique… Ce qu’il faut retenir du plan d'investissement France 2030
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Nucléaire
Avec France 2030, Emmanuel Macron continue de labourer son ambition de "start-up nation"
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Accélérer la formation aux filières d'avenir, autre objectif de France 2030
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Produire 20 biomédicaments en France en 2030, un défi pharmaceutique gigantesque
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La filière électronique appelle à un « grand effort de formation » pour répondre aux ambitions du plan France 2030
Avec France 2030, Emmanuel Macron continue de labourer son ambition de "start-up nation"
Mettre en orbite une « start-up nation industrielle », c’est le projet qui sous-tend le plan d’investissement France 2030. Le président a fait constamment référence à une logique d’accélération, de collaboration et d’innovation de rupture propre à l’univers des start-up.
« Il faut mener, en même temps, la bataille de l’innovation et celle de l’industrialisation. L’opposition entre les start-up et l’industrie est une opposition du XXe siècle », a déclaré Emmanuel Macron en présentant, le 12 octobre au palais de l'Elysée, le plan France 2030. Doté de 30 milliards d’euros sur cinq ans (dans l’hypothèse de la réélection du président actuel), ce plan vise au développement de nouvelles filières, comme à la revitalisation de celles « où nous sommes menacés, mais qu’on n’a pas le droit d’abandonner ».
Emmanuel Macron n’a pas été tendre avec les grandes entreprises, jugeant que « l’innovation de rupture ne se faisait plus dans les grands groupes ». Un constat partagé par l’économiste Elie Cohen, qui note « que le Président a beaucoup insisté sur l’apport des start-up, y compris dans des secteurs où on ne les attend pas naturellement, comme le nucléaire ou le spatial ».
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