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Automobile : pourquoi PSA a besoin d’un partenaire
General Motors et PSA Peugeot-Citroën seraient en négociation en vue d'une alliance globale. Quelle que soit l'issue des discussions, le constructeur français devra se trouver un allié.
Pendant longtemps, chez Peugeot-Citroën, on a pensé qu’une grande alliance était inutile. On préférait plutôt partager les coûts de développement et d’industrialisation de nouvelles voitures de manière ponctuelle, au coup par coup. Et c’est vrai que ses rapprochements avec Ford (dans les moteurs diesel), avec BMW (dans les moteurs essence et les chaines de traction hybrides), avec Renault (dans les moteurs), avec Fiat (pour les utilitaires et les monospaces), avec Toyota (pour les petites citadines) ou avec Mitsubishi (dans l’électrique et les 4x4) lui ont permis d’accéder à des économies d’échelle.
Mais aujourd’hui, ce modèle est sérieusement remis en cause. Il semble que la recette ne fonctionne plus aussi bien qu’avant. En fin d’année dernière, une première fissure est apparue dans cette stratégie. Fiat, préférant jouer à plein la carte des synergies avec Chrysler, a annoncé qu’il mettait un terme à son alliance avec le Français pour la conception et l’assemblage des monospaces et des utilitaires légers. Une rupture de ban qui menace clairement l’avenir de l’usine Sevelnord de Douvrain (Nord). Deuxième fissure dans ce dispositif efficace jusque-là : les difficultés financières de PSA. Depuis le mois de juillet dernier, la courbe de ses ventes ressemble à une longue descente aux enfers. En annonçant à l’automne, un plan d’économies de 800 millions d’euros, PSA pensait avoir sauvé son année. Ce n’était en fait qu’un apéritif. Il a dû se lancer dans une recherche de cash à tout prix… jusqu’à annoncer un plan de 2,5 milliards d’euros d’économies.
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Face à cette nouvelle donne, le groupe, qui faisait face à un dilemme « faire du premium ou faire des volumes », n’a plus vraiment le choix. S’il veut encore compter sur la scène internationale de l’automobile, il doit passer un cap en termes de volumes. Et ce cap, il ne pourra le franchir qu’en se rapprochant fortement et globalement d’un concurrent. Le problème pour le Français, c’est qu’il n’y a plus beaucoup de prétendants à marier. Renault a séduit et Nissan, et Daimler. Fiat s’est emparée de Chrysler. Volkswagen affiche une famille de huit marques et une santé insolente. Restaient les japonais (Suzuki, Toyota et Mitsubishi), un allemand (BMW) et deux américains (Ford et GM). Si l’on en croit les informations de La Tribune, c’est l’option General Motors qui tiendrait la route. Un tel rapprochement permettrait sans coup férir au Français d'accéder à la taille critique recherchée et ce sur tous les marchés où il est présent. Mais on ne peut pas dire que ce soit l’alliance rêvée… PSA ne pèse pas très lourd face à la puissance de frappe de l’Américain. Le n°1 mondial possède 158 usines dans le monde (PSA 31), emploie 202 000 employés (PSA, 120 000), et a vendu 9 millions de voitures en 2011 (PSA, 3,6 millions). C’est un peu comme si David s’alliait avec Goliath…
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