3 règles d’or pour optimiser vos achats de classe C
À ce jour, seulement 8 % des entreprises estiment gérer de façon optimale leurs achats de classe C*. Pourtant, ces achats concentrent une grande majorité des coûts indirects et représentent ainsi un fabuleux gisement d’économies.
… qui n’est pas le reflet des coûts indirects
- 60 % du volume de commandes
- 75 % du nombre de fournisseurs
- 85 % du nombre d'articles
Mettre sous contrôle ces achats non récurrents et non stratégiques représente des économies substantielles pour les entreprises.
Quelles règles à suivre pour optimiser vos achats de classe C ?
Les entreprises hésitent souvent à s’atteler à un tel projet craignant que cela soit compliqué, notamment car les enjeux sont souvent méconnus.
La réalité est tout autre si l’on suit trois grands principes :
- Collaborer avec un fournisseur de produits de classe C étant en mesure de proposer une offre extrêmement large (capable d’adresser la « longue traîne »), de couvrir tous les sites de l’entreprise sur le plan logistique et de communiquer des reporting précis.
- Implémenter une solution d’achat électronique qui permet de digitaliser l’ensemble des transactions tel que le Punch-Out, le catalogue hébergé… De nombreuses solutions existent, adaptées à tout budget et tout type d’entreprise.
- S’assurer que ce même fournisseur de produits de classe C puisse déployer le contrat, en travaillant autant avec la Direction des Achats pour signer l’accord-cadre qu’avec l’ensemble des utilisateurs pour promouvoir ce contrat et garantir leur adhésion (via des communications régulières, des visites…).
Finalement, les achats de classe C… devraient recevoir un A ! Ils sont une source d’économies insoupçonnées et méritent toute l’attention des Directions des Achats et de la Direction Générale, lorsque les classes A et B sont déjà optimisées.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’optimisation des achats de classe C ?
*Etude Sherpa HEC
Contenu proposé par Manutan.