Une pérennité sous conditions pour les Constructions navales et industrielles de la Méditerranée
L’équipementier et ensemblier industriel Constructions navales et industrielles de la Méditerranée (Cnim) reste dans l’attente de la validation d’un protocole pour se redresser financièrement tout en poursuivant ses activités. Mais des dispositions de ce document font craindre aux syndicats et acteurs économiques régionaux des risques de démantèlement de ses activités pourtant stratégiques pour la France. Avec ses filiales, Cnim emploie 2 600 personnes en France et à l'étranger dont près d'un millier à La Seyne-sur-Mer (Var), son principal site industriel pour ses divisions environnement et énergie et innovation et systèmes.
Confrontée en 2019 à la défaillance de son partenaire en génie civil (Clugston) sur plusieurs contrats d’usines de valorisation de déchets ménagers en Angleterre, l'entreprise Constructions navales et industrielles de la Méditerranée (Cnim), qui emploie 2 600 personnes dans le monde dont environ un millier à La Seyne-sur-Mer (Var), s’est retrouvée dans une situation financière plus que délicate, entraînant, à sa demande, l’ouverture, le 2 janvier 2020, d’une procédure de conciliation par le président du tribunal de commerce de Paris.
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