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Marine Glon, 35 ans, responsable du programme Économie circulaire et investissements d’avenir à l’Ademe.
Mis à jour
20 septembre 2016
La protection de l’environnement, Marine Glon a mis du temps à y revenir. « C’est une chose ancrée profondément en moi depuis l’adolescence, sans jamais avoir été formalisée », explique-t-elle. Diplôme de l’Essec en poche, elle intègre le BCG, un grand cabinet de conseil, voie royale pour les jeunes diplômés des grandes écoles de commerce. Elle travaille sur les fusions acquisitions, les réorganisations… Rien de bien vert. Après l’entrée en vigueur du protocole de Kyoto, vers 2008-2009, on lui confie une mission sur l’intérêt du marché des crédits carbone pour le compte d’un grand groupe de l’énergie. C’est le déclic. « J’ai choisi de quitter le BCG pour rejoindre une start-up, un jeune cabinet spécialisé dans ce domaine », se souvient-elle. Elle y reste deux ans avant de rejoindre l’Ademe, qui vient d’obtenir 3?milliards d’euros du programme des investissements d’avenir. La jeune femme est recrutée pour prendre en charge le financement de l’économie circulaire. Sites de recyclage, démonstrateurs de liquéfaction de biogaz, projets de méthanisation… Les sujets sont variés. Elle accompagne une trentaine de start-up et de grands groupes, qu’elle rencontre régulièrement pour challenger les modèles d’affaires. « C’est un poste exceptionnel, s’enthousiasme-t-elle. Toutes les entreprises qui innovent dans la transition écologique s’adressent à l’Ademe. » À tel point que l’intérêt du job l’a emporté sur l’aspect financier… Elle a accepté une réduction de 40 % de son salaire pour l’obtenir.
Remarque sexiste entendue
« On ne m’a jamais fait de remarque sexiste en direct, mais je crois que je suis assez immune à cela. Il faut dire que l’Ademe est une agence très féminisée. »
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