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SAP joue son avenir sur Internet

Le succès de SAP se prolongera-t-il sur le Web ? Le leader des progiciels de gestion intégrée s'imagine dans le rôle du chef de file de la nouvelle économie grâce à une percée dans l'e-business.
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SAP joue son avenir sur Internet

Le géant SAP victime du bogue de l'an 2000 ! Certes, aucun système n'a été bloqué chez les clients du leader mondial des progiciels de gestion intégrée (ERP). Mais, à quelques semaines de la date fatidique, la peur du bogue incite lesdits clients à se concentrer sur les derniers ajustements, au détriment d'autres investissements informatiques. Conséquences : pour SAP - comme d'ailleurs pour nombre de grands noms des technologies de l'information (IBM en tête) - des résultats trimestriels décevants (voir ci-contre), un cours de Bourse malmené à Wall Street et les interrogations des analystes. Objectif : doubler le chiffre d'affaires Pour le géant de Walldorf (Allemagne), plutôt habitué à la mécanique bien huilée de la croissance - son progiciel de gestion R/3, implanté dans 22 000 sociétés, dont la moitié des 500 premières entreprises mondiales, a raflé 40 % du marché -, la situation est inhabituelle. Surtout, elle arrive au moment où le groupe orchestre en fanfare le lancement mondial de sa stratégie Internet fondée sur son initiative " mySAP. com ". Avec l'objectif clairement affiché de doubler son chiffre d'affaires en trois ans. Disponible depuis quelques jours, mySAP. com est une suite de quatre composants (ci-dessous) entièrement fondés sur les technologies du Web. Leur périmètre dépasse la clientèle actuelle de SAP. L'idée est de créer une infrastructure intégrée aux systèmes d'information existants et permettant aux entreprises de développer leurs échanges sur Internet. L'offre mise au point par SAP fournit en particulier des scénarios de collaboration entre partenaires, fournisseurs et clients en tout point conformes aux credos de l'entreprise étendue. Dans la foulée des Sun et IBM, SAP devient donc une société " .com ". Et pourquoi pas un yahoo ! ou un amazon.com de l'entreprise, voire un peu plus ? Fort de sa maîtrise des processus de gestion, l'éditeur poursuit, à sa manière, les mêmes objectifs que les marchands du Web. Mais il tente de ne pas trébucher sur les mêmes pièges : " Regardez amazon.com. Ils investissent aujourd'hui des millions en logistique, car ils ont compris qu'une superbe vitrine ne suffisait pas si le client attendait sa livraison pendant des semaines ", lance Leo Apotheker, président de SAP Europe du Sud-Ouest et membre de l'" extended board " de SAP AG. Par rapport à un amazon.com, SAP part donc du point opposé. Sa vitrine, jusqu'à présent, n'avait rien d'attirant. A l'image de l'architecte qui dessine des HLM, il avait toujours un peu négligé la personne qui travaille derrière l'écran. Aujourd'hui, les responsables de cette entreprise à l'image sérieuse, voire austère, insistent sur leur désir d'offrir un environnement de travail " amusant et agréable "... La transformation de SAP est d'autant plus radicale qu'elle a été rapide. L'éditeur reconnaît avoir été surpris par l'accélération de l'histoire. " Nous avons pris conscience de l'impact du Web il y a dix-huit mois. Mais nous pensions que l'évolution serait graduelle, alors qu'elle a été abrupte. A la fin de l'an dernier, les Etats-Unis nous ont poussés à aller plus vite ", expose Leo Apotheker. Outre-Atlantique, certains analystes avaient critiqué le " retard " de SAP en matière d'Internet. Et le marketing de SAP n'avait guère été à la hauteur, face, par exemple, à un Larry Ellison - le président d'Oracle. Fort de ses ressources en recherche-développement, l'éditeur a mis plus d'un millier de programmeurs sur son projet. Il y avait urgence, s'il ne voulait se laisser déborder ni par ses concurrents habituels - les Oracle, PeopleSoft, ou JD Edwards - ni par des start-up Internet. Mais, aujourd'hui, l'allemand peut se targuer d'être le deuxième grand éditeur généraliste à lancer une offre complète. Il lui reste à convaincre ses clients de devenir des " entreprises en ligne ". Pour cela, SAP a retenu l'essentiel de la " Net économie ", qui abolit les contraintes spatiales et temporelles : elle change tout, sauf la loi de l'offre et de la demande. Tout ce qui se vend et s'achète pourrait donc transiter sur mySAP. com... Et toute information, jusqu'à la météo, a place sur le poste de travail. Si la part de marché de SAP atteignait celle de Microsoft, elle ferait de lui un " big brother " tout désigné ! La fin des hiérarchies grâce au Web Avant l'ère Internet, l'offre SAP couvrait déjà toutes les fonctions de l'entreprise, à l'exception de la conception des produits. Avec le Web, elle s'attaque aux dernières frontières. L'interface baptisée Workplace - l'un des quatre composants de mySAP. com. - est emblématique de cette vision globale. Sa vocation : offrir un environnement de travail personnalisé facilitant les tâches quotidiennes. Totalement ouvert, ce dernier signe " la fin des hiérarchies fondées sur le rationnement du savoir ". " Ce que l'ERP n'a pas réussi, le Web l'a achevé ! ", s'exclame Leo Apotheker. Ce décloisonnement est poussé à l'extrême dans le " marketplace ", un autre des composants de la nouvelle offre. Plus que d'un portail, il s'agit d'un environnement virtuel sur le Web où les entreprises peuvent non seulement établir des contacts commerciaux, mais aussi exécuter des transactions complètes. " Nous créons un espace où l'offre et la demande se rencontrent librement ", explique Jeroen Bent, directeur général de SAP France. N'importe quelle entreprise, qu'elle vende des produits ou des services, peut s'y inscrire. Bien qu'elle rassemble des communautés (les pétroliers, par exemple), son approche n'est pas purement sectorielle. Des agences de voyages pourraient y proposer leurs prestations. Un nouvel équilibre pour l'écosystème SAP Manifestement, SAP dépasse les frontières de son rôle d'éditeur de progiciel et devient un intervenant direct sur le marché. Il pourrait se substituer à certains intermédiaires, notamment des distributeurs. Le terrain reste largement à défricher. Tout ou presque est imaginable : pourquoi SAP ne prélèverait-il pas, à l'instar d'un Visa pour les cartes, une commission sur les transactions qui passent par son portail ? Même s'il n'était pas fondé sur mySAP. com, le projet Carrefour, décalé pour cause de fusion avec Promodès l'été dernier, donne une idée des bouleversements en cours dans la stratégie SAP. Ce dernier, candidat à la rénovation de la gestion commerciale et à la mise en place d'une solution de supply chain chez le distributeur, a monté un consortium avec Ernst & Young, EDS et AT Kearney. Cette alliance s'engagerait sur l'obtention de résultats précis, allant jusqu'à l'évolution du cours de Bourse de Carrefour ! Jusqu'alors, les engagements se limitaient aux délais ou aux coûts de mise en oeuvre des solutions. " Pendant les années 90, nous avons vendu des licences. Aujourd'hui, nous évoluons vers un mo-dèle mixte de partage de la valeur ajoutée entre le client et le fournisseur ", commente Leo Apotheker. Jusqu'où modifier l'" écosystème " sans en rompre l'équilibre, tout en attirant de nouveaux partenaires ? Une partie de l'offre mySAP. com implique l'hébergement d'applications par SAP, et des négociations sont en cours dans le domaine des réseaux. " Demain, vous verrez des opérateurs de télécommunications sur la liste de nos partenaires ", promet Jeroen Bent. Des start-up du commerce électronique, comme les Commerce One et autres Ariba, deviendront ainsi partenaires ou... concurrentes. Les partenaires traditionnels de SAP, eux, se disent prêts à évoluer et se montrent plutôt satisfaits. " Nous expliquons à nos consultants qu'il faut devenir partie prenante de l'activité de nos clients ", souligne Bernard Chiquet, associé et directeur des ventes chez Ernst & Young. " Via Internet, le flux d'informations augmente. Cela valorisera notre rôle en organisation ", ajoute Philippe Jézéquel, d'ALS Consultants. " Nous n'avons jamais eu une activité aussi forte ni de telles perspectives de croissance ", se réjouit un spécialiste de l'intégration des applications d'entreprise. Car, même fondée sur des standards technologiques, la mise en oeuvre de la " Net-économie " n'est pas une sinécure... Des clients intéressés, mais encore attentistes Et les clients industriels, eux, qu'en pensent-ils ? Ils adhèrent, certes, à la vision de SAP. Mais " le ticket d'entrée n'est pas gratuit. Les grands groupes ont besoin de souffler après leurs lourds investissements en ERP, pour l'euro et l'an 2000 ", note Eddy Manesse, chez Philips. Si, outre-Atlantique, bon nombre d'entreprises sont prêtes à s'engouffrer dans la brèche, en Europe, le décollage attendra plutôt fin 2000 ou début 2001. " Nous nous orienterons tous dans cette direction. Mais il faut débloquer de nouveaux budgets ", précise Eddy Manesse. SAP peut certes compter sur son immense base installée. " Exécuter et automatiser des transactions complètes via le Web, intégrant commerce électronique et systèmes de gestion, suppose que tous les partenaires disposent du même outil. Avec près de 40 % du marché, les projets de SAP paraissent pertinents et réalistes ", juge François Le Cadre, directeur de marché nouvelles offres SAP chez Atos. Inventer un nouveau modèle de services Mais il subsiste des écueils, liés à l'état des technologies. Certains craignent une trop grande dépendance à l'égard des réseaux. " Il existe aussi des réticences à mettre des informations critiques sur un site Internet ", ajoute Bernard Naudin, responsable des services e-business chez IBM Global Services. " Ce sont nos principaux défis ", admet Jeroen Bent, précisant que SAP travaille à de nouvelles techniques de compression des données afin d'atteindre une fiabilité optimale. Des négociations seraient aussi en cours avec les gouvernements pour le cryptage. Les consultants, eux, identifient d'autres obstacles : l'éditeur doit abandonner toute trace de culture de " vendeur de boîtes " pour mieux écouter les besoins de ses clients et concevoir des solutions, remarquent plusieurs d'entre eux. " Sinon, il deviendra une société de maintenance applicative autour de son progiciel R/3 ", craint Bernard Chiquet, associé et directeur des ventes chez Ernst & Young. Enfin, à l'heure où SAP tente de se réinventer, la comparaison avec les pionniers du commerce électronique est inévitable. Il a fallu à IBM quelques échecs, notamment avec des centres commerciaux en ligne, pour réussir l'apprentissage de l'e-business. Bien qu'il maîtrise les données et les processus, SAP saura-t-il devenir un fournisseur de services en ligne d'un nouveau genre ? Avec ses partenaires, il doit maintenant faire preuve d'audace et d'imagination. Sap n'est pas le seul à souffrir d'un " effet an 2000 " Le titre IBM a plongé de 19,3 %, le 21 octobre, après la prévision d'un tassement des bénéfices sur les deux prochains trimestres. PeopleSoft, numéro 2 du marché des ERP, voit son chiffre d'affaires reculer de 3 % et son bénéfice s'écrouler de 117 à 16 millions de dollars sur les neuf premiers mois de l'année. Oracle Applications affiche pour son premier trimestre 2000 (clos à fin août) une croissance de 11 %, contre 42 % pour 1999. Baan enregistre un recul de son chiffre d'affaires de 604 à 491 millions de dollars sur les neuf premiers mois de 1999 et ses pertes atteignent 53 millions de dollars. SAP espère relever la tête avec les composantes de son offre internet SAP pour tous Semblable, en apparence, à un portail, le " workplace " fournit un environnement de travail personnalisable, ainsi qu'un point d'accès unique et intégré, reposant sur le Web, à tous les logiciels et données de l'entreprise. Chacun peut le configurer en fonction de ses rôles dans l'entreprise, et même de ses centres d'intérêt personnel. Moderne, SAP admet qu'il est devenu inutile de limiter les accès. " Autant laisser les gens surfer. Dès que l'Eglise mettait un livre à l'index, il devenait aussitôt très populaire ", rappelle Leo Apotheker. Mais cette largesse d'esprit n'est pas totalement désintéressée : si mySAP. com est adopté comme portail d'entreprise, les 10 millions d'utilisateurs de SAP dans le monde pourraient devenir 100 millions. Le tarif de ce composant, encore non précisé, devrait être modique. L'éditeur compte sur un effet de volume. L'activité économique organisée Derrière ses allures de portail, le " marketplace " est plutôt une sorte de salon multisectoriel, virtuel et permanent, accessible sur le site à l'adresse Web : www.mySAP. com. Il se veut une destination Internet incontournable pour les professionnels, utilisateurs de SAP ou non. Les entreprises pourront y trouver des informations relatives à leur secteur, y nouer des contacts commerciaux, voire exécuter des transactions complètes. Sa principale originalité consiste à synchroniser les processus de gestion et ceux de communication. Des contenus variés, comme des catalogues en ligne, seront aussi proposés. La gestion réécrite en scénarios Les " business scenarios ", ou " processus coopératifs ", de mySAP. com introduisent une gamme de solutions de gestion assurant une coopération entre les entreprises, ainsi qu'à destination des consommateurs. Assemblés en fonction des besoins des clients et des marchés, ils peuvent couvrir aussi bien le service client via le Web que la logistique interentreprises ou la gestion stratégique pour les dirigeants. Ces " business scenarios ", tout comme le " marketplace ", peuvent se traduire, pour SAP, par différents modes de rémunération. Une tarification à la transaction est envisageable. L'hébergement d'applications En partenariat avec de grands opérateurs, SAP propose l'ensemble de son offre via Internet, et dépasse le cadre des " ASP " (Applications Service Provider), qui offrent un accès distant à des progiciels. L'éditeur propose par exemple à ses prospects de tester et de configurer en ligne une solution. De nouveaux partenaires seront associés pour l'exploitation à distance des solutions. Des accords ont déjà été conclus avec EDS aux Etats-Unis et British Telecom notamment. En France, les partenariats devraient être annoncés avant la fin de l'année. Enfin, SAP offrira en prime des liaisons satellites pour la maintenance. Effet an 2000 ou marché saturé ? Pour SAP, une entreprise qui a connu ces dernières années des taux de croissance atteignant jusqu'à 60 %, les chiffres qu'elle a enregistrés ces derniers mois constituent une déception. A tel point que certains analystes - américains, en particulier - estiment que le leader allemand aurait " saturé son marché ". " Ce n'est pas le cas, répond Philippe Jézéquel, directeur associé d'ALS Consultants, une société de conseil spécialisée dans la mise en oeuvre de SAP. Nous avons rarement eu autant de prospects pour des projets susceptibles de démarrer au printemps prochain. " Chez SAP, Leo Apotheker assure lui aussi que " le pipeline des prospects n'a jamais été aussi rempli que depuis l'annonce de mySAP. com ". L'effet an 2000 qu'invoque SAP est ressenti par l'ensemble du secteur du progiciel de gestion. " C'est une année particulière, en dents de scie ", souligne un concurrent. A des moments différents dans l'année selon leurs cycles de vente, tous les vendeurs d'ERP ont connu un creux. Et leurs taux de croissance resteront, en 1999, inférieurs à ceux des années précédentes.

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