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Renault en Chine, le Smic allemand, le gaz de schiste... la revue de presse de l'industrie
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Renault en Chine, le Smic allemand, le gaz de schiste... la revue de presse de l'industrie
Renault attend de façon imminente l'officialisation de l'accord des autorités chinoises pour s'implanter en Chine en partenariat avec le constructeur Dongfeng, selon les Echos. Dans le reste de l'actualité : Angela Merkel consent à créer un salaire minimum en Allemagne, les académiciens demandent un "effort de recherche" sur l'exploitation des gaz de schiste et les produits anti-Google de Microsoft.
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Accord imminent pour Renault en Chine
Renault devrait recevoir très prochainement le feu vert des autorités chinoises pour s'implanter en Chine, révèle ce 22 novembre le journal Les Echos. Un marché stratégique pour la marque au losange, qui compte réaliser plus de la moitié de ses ventes hors d'Europe d'ici à 2016.
Le groupe automobile français a déjà reçu un accord oral et un conseil d'administration extraordinaire s'est tenu jeudi pour valider le projet de création d'une coentreprise avec Dongfeng, avance ce vendredi le quotidien économique.
On se dirige donc vers la fin d'un long parcours du combattant pour Renault en Chine : le constructeur français envisage en effet depuis longtemps une implantation industrielle en Chine, un terrain déjà largement occupé par son concurrent PSA Peugeot Citroën par ailleurs en négociation avec le Chinois Dongfeng en vue de son entrée au capital du groupe.
Merkel cède sur le dossier du salaire minimum
Angela Merkel a consenti hier à la mise en place d'un salaire minimum généralisé. Une décision avant tout politique, liée aux négociations que mène actuellement la chancelière, membre du parti conservateur CDU, avec les sociaux-démocrates du SPD pour former un gouvernement de coalition.
Dans un reportage, la chaîne d'information LCI revient ce matin sur cette annonce faite devant un parterre de patrons.
Gaz de schiste : l'Académie des sciences relance le débat
A la une du Figaro de ce vendredi : "Gaz de schiste : l'Académie des sciences réclame un effort de recherche national".
L'institution a émis un avis jeudi dans lequel elle demande la création d'une "autorité scientifique indépendante et pluridisciplinaire" pour encadrer la recherche sur l'exploration et l'éventuelle exploitation des gaz de schiste.
"Sans aller jusqu'à demander clairement la fin du moratoire sur la fracturation hydraulique, les auteurs du rapport estiment que les autres techniques étudiées en remplacement 'ne constituent pas une alternative à la fracturation hydraulique utilisable en pratique'. Il faut donc mener des recherches sur l'amélioration de cette technique existante", écrit Le Figaro.
Illustration avec la question hautement sensible des pollutions possibles des nappes phréatiques, met en avant le quotidien, l'Académie estime ainsi que 'le risque de contamination directe due à la fracturation hydraulique est peu probable'.
Le "Google-bashing" de Microsoft
Sur le blog du Monde.fr Big Browser : "Microsoft lance ses t-shirts, casquettes et mugs anti-Google".
Sur ces vêtements mis en vente en ligne par la firme de Redmond on peut notamment lire : "Restez calme pendant que nous volons vos données", "Je vous surveille" ou encore "Entrez dans ma toile". Microsoft tente ainsi de surfer sur la vague des récentes révélations sur les pratiques des grands groupes internet, qui ont reconnu avoir collaboré avec la NSA, l'agence de renseignement américaine, tout en égratignant au passage son concurrent. A l'origine de cette initiative, un ancien conseiller de Bill et d'Hillary Clinton.
"Cette démarche s'inscrit dans une vaste campagne de dénigrement menée depuis plusieurs mois (...). Baptisée "Scroogled" (contraction entre Google et "screwed", que nous traduirons, pour rester poli, par "s'être fait avoir"), elle vise à dénoncer les pratiques de Google en matière de protection de la vie privée", explique l'article.
Julien Bonnet
Renault en Chine, le Smic allemand, le gaz de schiste... la revue de presse de l'industrie
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