Que cache l’idée d’un service d’intérêt général bas carbone européen
Le syndicat français CFE CGC défend l’idée que seule la défense de l’intérêt général bas carbone évitera une mort cérébrale de l’Europe de l’énergie. Traduction : il faut sécuriser l’investissement public dans le nucléaire.
Le nucléaire français a peur, mais n’ose pas le dire. Dans un communiqué, la CFE Énergies interpelle Thierry Breton, nouveau commissaire européen au marché intérieur. L’organisation syndicale lui demande de créer un "service d’intérêt économique général (SIEG) bas carbone" au cœur de son action politique pour "réorienter la politique énergétique de l’Europe" non plus uniquement dans l’intérêt des consommateurs mais aussi de celui des salariés européens.
Ne dites plus nucléaire...
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