Publiscopie : Des solutions d’interfaces hommes-machines sur mesure

EOZ | Interfaces hommes-machines

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Publiscopie : Des solutions d’interfaces hommes-machines sur mesure

Du clavier de l’interphone à la manette de commandes d’un pont roulant, en passant par le bouton marche-arrêt d’une box, l’éjecteur de siège d’un avion, les claviers pour personnes à déficiences visuelles… boutons et claviers sont partout. EOZ est née en 2010. ”Nous sommes les héritiers de la marque Secme, créée en 1932, pionnière de l’industrie électronique en France, reconnue pour sa qualité et sa durabilité”, explique Thomas Briday, responsable commercial.

Dans son atelier de LimogesFourches (77), EOZ (25 collaborateurs), certifié ISO 9001, est capable d’accompagner son client en passant par toutes les phases d’un projet, de la co-construction du cahier des charges à la livraison des pièces séries. L’étude, le prototypage rapide ainsi que les tests d’endurance mécaniques, électriques et climatiques sont réalisés en interne dans le but d’offrir une solution clé en main. La conception, l’assemblage et la matière grise sont 100 % français. Un atout en termes d’agilité et de réactivité.

rÉduire les dÉlais… et les coûts

Par un procédé de déformation plastique et de mise en forme des métaux en feuilles sur un tour, le repousseur couche la matière et la façonne. ”Tous les métaux peuvent être repoussés : inox, aluminium, cuivre zinc, titane, nickel… Repoussage & Industries travaille à partir du cahier des charges du client et du plan de la pièce. Nous réalisons tout d’abord l’outillage qui va nous servir pour le prototype, et ensuite la série.” Pour les grandes séries et les pièces non circulaires, les pièces passent plutôt par l’emboutissage. Une autre technique qui permet d’obtenir, à partir d’une feuille de tôle plane et mince, un objet dont la forme n’est pas développable. Repoussage & Industries (8 salariés) mise sur l’estampille France. Les matières premières sont sourcées dans les départements les plus proches et l’entreprise se positionne sur la pièce technique à forte valeur ajoutée, difficile à délocaliser. ”La pandémie amorce un grand virage de relocalisation, pour des raisons de réactivité, de disponibilité et de qualité” , conclut Frédéric Prince.






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