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Rumeur ou pas, cette idée de marier le français avec un autre groupe automobile est une vieille rengaine. Il y a trois ans, on avait d’ailleurs déjà évoqué l’hypothèse d’un tandem franco-italien dans la presse. Sans suite.
Plus tôt, d’autres constructeurs avaient aussi tenu le rôle de prétendants. Le japonais Mitsubishi a fait figure de partenaire idéal avant que les relations entre les deux partenaires (sur les 4x4 et la voiture électrique) ne se dégradent en 2010. Renault fut également cité régulièrement comme fiancé probable, notamment en 2009. Mais cette idée relevait plus d'un fantasme franco-français que d’une piste de travail sérieuse.
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Ce rôle, c'est peut-être BMW qui le tient depuis plusieurs années maintenant. Même si la famille Peugeot refuse de s'exprimer ouvertement sur ce sujet, c'est le meilleur partenaire possible pour PSA. Les deux industriels ont beaucoup de choses à partager : un actionnariat familial (les Quandt et les Peugeot), des gammes complémentaires (moyen de gamme pour l'un et haut de gamme pour l'autre) et des technologies communes (moteurs électriques, moteur essence...).
Pourquoi n’ont-ils par encore fusionner me direz-vous ? Sans doute, pour un problème de capitalisation boursière. L'action de PSA est sous-évaluée depuis des années selon la famille Peugeot et il est difficile dans ce contexte qu’elle imagine céder ses parts sans avoir le sentiment de les brader.
Ceci dit, la question d'une alliance se pose de plus en plus crument pour leur groupe. La plupart de ses concurrents fabriquent entre 6 et 8 millions de véhicules par an. Et si le français veut rester compétitif, il devra sans doute dire "oui" à l'un de ses partenaires pressentis.
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