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[Présidentielle] Ce que l'on sait du programme économique de Philippe Poutou
Dernier candidat à avoir obtenu ses parrainages, Philippe Poutou représente le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) pour la deuxième fois à l’élection présidentielle. Comme les candidats communistes Nathalie Arthaud et Fabien Roussel, l’ancien ouvrier de chez Ford demande la « socialisation » de plusieurs grandes entreprises stratégiques, mais se distingue de ses concurrents par son refus du nucléaire et son ouverture aux autres courants de la gauche, notamment sur l’écologie. Pour financer toutes ses mesures de soutien au pouvoir d’achat, il mise sur une plus grande assiette des charges sociales et sur la taxation des plus riches.
Son obsession
Le programme de Philippe Poutou se base sur la « socialisation », c’est-à-dire «la réquisition, sans indemnité ni rachat, de secteurs clés de l’économie sous le contrôle des travailleurs et de la population», explique le site du NPA. Dans les secteurs de l’énergie, la pharmaceutique, le transport, la communication et certains pans de l’industrie, les entreprises seront réquisitionnées car «vitales pour la population et l’environnement», en particulier pour mettre en œuvre la transition écologique par la planification. Les banques seront fusionnées en un «monopole public du crédit», pour stopper la spéculation et orienter les investissements «vers les projets socialement utiles» en priorité.
Ses mesures (pour?) les entreprises
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