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PSA et Opel, c'est parti !
Pourquoi le rapprochement PSA/Opel était attendu
PSA est en discussion avec General Motors pour acquérir sa filiale européenne Opel. Un rapprochement déjà évoqué depuis plusieurs années.
Le secteur automobile pourrait-il voir surgir un nouveau champion européen ? Le français PSA et General Motors sont entrés en discussions pour rapprocher l’entreprise hexagonale avec Opel, filiale européenne du constructeur américain, d’après l’agence Reuters. L’opération pourrait être annoncée dans les prochains jours.
"Le Groupe PSA confirme examiner avec General Motors, de nombreuses initiatives stratégiques visant à améliorer sa rentabilité et son efficacité opérationnelle, y compris une acquisition potentielle d'Opel, souligne le constructeur dans un communiqué publié mardi 14 février. A ce stade, il n'existe aucune certitude sur la conclusion d'un éventuel accord".
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La fusion de PSA et d’Opel donnerait naissance à un acteur de taille moyenne. Avec 1,1 million de véhicules vendus en 2015 pour Opel et 3,1 millions de véhicules en 2016 côté PSA, le nouvel ensemble représenterait un peu plus de 4 millions de véhicules. Bien plus que Renault (3,18 millions de véhicules en 2016), mais bien moins que Volkswagen (10,3 millions de véhicules en 2016) ou que l'alliance Renaut-Nissan (9,6 millions de véhicules).
Une alliance industrielle nouée en 2012
Ce rapprochement, qui doit encore être confirmé, est tout sauf une surprise. D’abord parce que General Motors ne se porte bien qu’en Amérique du Nord, où il a généré 12 milliards de dollars de bénéfices en 2016 comme il l’a indiqué début février. A contrario, le constructeur a essuyé en Europe des pertes à hauteur de 300 millions de dollars, imputables à Opel. En 2015, la situation était pire avec 800 millions d’euros de pertes.
Ensuite parce que PSA et Opel ont déjà multiplié les partenariats. C’est le cas pour le nouveau Zafira produit en France à Sochaux/Montbéliard chez PSA et le successeur du C3 Picasso qui sera fabriqué en Espagne chez Opel. Les deux groupes avaient par ailleurs créé une alliance en 2012, dont les ambitions avaient toutefois été revues à la baisse. "Depuis 2012, General Motors et le Groupe PSA ont mis en place une Alliance qui couvre à ce jour trois projets en Europe et qui a généré des synergies substantielles pour les deux groupes", confirme le groupe dans son communiqué. En 2013, des rumeurs tenaces faisaient état d’une volonté du gouvernement de rapprocher les deux industriels. Le mariage des deux constructeurs pourrait cette fois-ci se concrétiser.
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