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Pour Airbus, il n’existe pas de plan B au SCAF
Pour Airbus, il n’existe pas de plan B au SCAF
Contrairement à Dassault Aviation, Airbus ne pense pas qu’il existe une véritable alternative au programme SCAF pour permettre à l’Europe de rattraper son retard sur les Etats-Unis dans les avions de combat. Dans le schéma industriel, l’avionneur refuse d’être réduit à un rôle de sous-traitant.
Mis à jour
22 avril 2021
La meilleure défense c’est l’attaque. Après les critiques de Dassault Aviation concernant l’organisation du programme SCAF (système de combat aérien du futur), Airbus était à son tour invité à répondre aux interrogations des sénateurs ce 17 mars. Conscient de l’enjeu, le groupe a dépêché son directeur de la stratégie Antoine Bouvier et le président exécutif de la division des activités de Défense, Dirk Hoke pour cet exercice délicat. Quelques jours auparavant, la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat avait auditionné Eric Trappier patron de Dassault Aviation. Le dirigeant avait évoqué dans le détail la difficulté de trouver un accord avec Airbus sur le partage des tâches industrielles.
Pas d'alternative convaincante
"Il y a autour de ce programme SCAF tout un ensemble de difficultés et de débats", a d’emblée reconnu le patron de la stratégie d’Airbus. Alors que Dassault avait insisté sur la défense des intérêts français, Airbus a tenu à rappeler le caractère stratégique du programme pour la France mais également sa dimension européenne. "C’est l’intérêt de la France de faire le SCAF, mais pas à n’importe quelles conditions. C’est l’intérêt de l’Allemagne de faire le SCAF mais pas, non plus, à n’importe quelles conditions. C’est l’intérêt de l’Espagne de faire le SCAF mais pas, non plus, dans n’importe quelles conditions. Voilà le cœur du débat".
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