Pas de discrimination raciale chez Renault
L'Usine Nouvelle RenaultPublié le
Le conseil des prud'hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a débouté cinq ex-salariés et un salarié de Renault qui réclamaient environ un million d'euros de dommages et intérêts pour discrimination raciale.
Les conseillers ont estimé que l'organisation en place chez le constructeur avait « essentiellement pour but d'aider les salariés d'origine étrangère » et que les écarts de salaires et de carrières constatés par l'expert ne relevaient pas de comportements discriminants.