Katanga Mining, filiale du géant suisse de négoce Glencore, avait annoncé le 6 novembre interrompre les exportations de cobalt en provenance de Kamoto, dans le sud-est du Congo. Dans le même temps, la société minière avait indiqué qu’elle allait construire une installation d’extraction de l’uranium du cobalt, pour un investissement de 25 millions de dollars (22 millions d’euros) et qui devrait être achevée mi-2019. Pour rappel, la mine de Kamoto est exploitée par Copper Company (KCC), détenue à 75% par Katanga Mining et à 25% par Gécamines.
Cette décision, qualifiée d’unilatérale, n’a pas du tout l’air de plaire aux autorités congolaises, ni à la Gécamines. Martin Kabwelulu, ministre des Mines, considère pour le moment cette nouvelle installation d'extraction de l'uranium comme non nécessaire.
Pour un accès immédiat, payez en ligne par carte bleue
En vous abonnant à L’Usine Nouvelle, vous accédez à :
- Une vision unique de l’industrie en France et dans le monde
- Une couverture inégalée de l’actualité des usines en région
- Un décryptage exclusif de la digitalisation de l’industrie et des services
- La base de référence des 20 000 premières entreprises et sites industriels

Connectez-vous
Abonnez-vous
Vos codes d'accès sont erronés, Veuillez les saisir à nouveau.