Les sous-traitants automobiles français en péril
Entre hausse des prix et transition électrique, les équipementiers français fragilisés cherchent une difficile voie de diversification.
Emboutir des feuilles de métal, couler de l’aluminium en fusion, usiner des barres d’acier… Ces métiers font partie des activités menacées de l’industrie automobile, « sans doute le seul secteur à ne pas avoir retrouvé son niveau d’avant-crise », déplorait en octobre Luc Chatel, le président de la Plateforme automobile (PFA). La diminution des volumes pèse sur les constructeurs. Mais les organisations professionnelles s’inquiètent surtout pour l’avenir des sous-traitants qui représentent un bon tiers des effectifs de la filière.
[...]Cet article est réservé à nos abonnés L'Usine Nouvelle
Soutenez un journalisme d'expertise.