Les industriels de l’emballage bois, plébiscité pour sa faible empreinte carbone, ont résisté au Covid
Trois organisations professionnelles, représentatives du secteur de l’emballage bois, ont détaillé, jeudi 21 janvier, une étude structurelle, présentant leur marché et leurs atouts. L’occasion de revenir sur l'impact du Covid-19 sur un secteur aussi discret qu'incontournable.
Peu visible côté consommateur, indispensable dans l’industrie, l’emballage en bois prépare l’avenir. La présentation de l’étude structurelle réalisée par le Pôle emballage bois et le cabinet Gallileo en 2020 le rappelle. Le secteur, qui rassemble les fabricants de palettes (réunis au sein du Sypal), d’emballage industriels et caisserie (représentés par le Seila) et de l’emballage léger (syndiqués dans le Siel), se porte bien. "On est à la mode", résume Léa Charron, manager du pôle pour expliquer le dynamisme des 860 entreprises. En 2019, le chiffre d’affaires du secteur est estimé à plus de 1,5 milliard d’euros. Une progression moyenne de 2,6 % par an depuis 2015, révèle l’étude menée auprès de 350 entreprises (couvrant 75% des volumes produits).
Des avantages environnementaux en vogue
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