Il suscite les convoitises. Avec raison : le premium représente 10% des ventes mondiales, mais plus de 40% des profits, selon le cabinet McKinsey. Déterminé à se faire une place sur ce créneau porteur, le futur directeur général de Stellantis, Carlos Tavares, avait acté dès 2014 la séparation de DS de sa marque d’origine, Citroën. Sept ans plus tard, le groupe automobile qui doit naître du mariage entre PSA et FCA bénéficiera d’un portefeuille élargi, avec DS, mais aussi Alfa Romeo, Maserati – à mi-chemin entre premium et luxe – et dans une certaine mesure Lancia.
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