Le projet de réacteur à fusion Iter doit réparer des composants clés du tokamak, au prix d’importants retards
Le projet de fusion nucléaire Iter, en construction à Cadarache (Bouches-du-Rhône), a identifié des problèmes de corrosion sous contrainte et de non-conformités dimensionnelles sur des composants clés de son tokamak, le cœur du réacteur. Le projet international doit revenir sur ses pas pour réparer ces défauts, et annonce des retards «non négligeables»
Le monde du nucléaire le sait bien : dans les grands projets, difficile de faire un sans faute du premier coup. Les difficultés dévoilées par l'organisation Iter – qui coordonne la construction d'un réacteur à Cadarache (Bouches-du-Rhône) pour démontrer la faisabilité scientifique et technologique de la production contrôlée d’énergie via la fusion nucléaire – via un article en ligne publié le 21 novembre, en sont un nouvel exemple.
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