Le plan des salariés de GE Belfort pour faire entrer General Electric dans l’ère hydrogène
Les salariés de l’usine de turbine à gaz General Electric de Belfort ne sont pas à court d’idées pour maintenir leur activité. Après avoir ouvert une activité aviation, ils proposent dix axes de développement dont l’un dans l’hydrogène.
Si, après un long bras de fer, les syndicats de l’usine de GE à Belfort (Territoire de Belfort) ont fini par signer un accord avec la direction prévoyant un plan de départs volontaires de 485 personnes, des mesures de réduction de coûts, la fermeture de bâtiments et le gel des acquis sociaux, c’était uniquement car ils avaient réussi à négocier un nouveau plan industriel. Jusqu’à la crise du Covid-19, tout s’est passé comme prévu.
Un plan industriels en dix axes
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