Le nickel, victime collatérale de conflits larvés en Nouvelle-Calédonie
La vente par Vale de son usine d’hydrométallurgie du nickel (le « métal du diable ») de Goro, au sud de la Nouvelle-Calédonie, a réveillé bien des démons.
Les blocages et les violences qui ont immédiatement suivi, en décembre, la confirmation par le groupe minier brésilien Vale (via sa filiale canadienne) de la vente de son usine d’hydrométallurgie du nickel (le « métal du diable ») de Goro, au sud de la Nouvelle-Calédonie, au consortium Prony Resources ont mis en péril ce site Seveso, mais pas uniquement lui.
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