Le lanceur d’alerte "n’a jamais apporté la moindre preuve sur les soi-disant malversations" avec IBM, selon la SNCF
Suite aux perquisitions du siège de la SNCF dans l’affaire d'éventuels marchés truqués avec IBM dénoncée par le cheminot Denis Breteau, la SNCF parle d’une procédure normale et d’un lanceur d’alerte qui n’en aurait que le nom.
Plusieurs sites de la SNCF, selon une information révélée par le Parisien, dont le siège de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), ont été perquisitionnés mardi 4 juin dans le cadre d’une enquête préliminaire sur d’éventuelles irrégularités au sein de la filiale du groupe, Stelsia, avec le groupe américain IBM. Une perquisition qui s’est passée le plus normalement du monde selon la SNCF.
Entre 2009 et 2011, les deux groupes avaient noué un partenariat informatique susceptible de faire faire des économies à la SNCF sur le hardware. Selon une source syndicale recueillie par l’Usine Nouvelle, le système de billettique Socrate, échec retentissant
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