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Le gouvernement et Renault préparent l'après-Carlos Ghosn
Le groupe Renault s'apprête à tenir une réunion du conseil d'administration pour examiner les candidats à la succession de Carlos Ghosn dimanche 20 janvier. Le 16 janvier, des représentants de l'État français seraient arrivés au Japon pour échanger avec les protagonistes du dossier Renault-Nissan. Ce changement d'attitude du gouvernement et du constructeur automobile intervient après un nouveau refus de demande de libération sous caution du PDG de Renault.
Avec
\ 21h09
Mis à jour 16 Janv. 2019
Avec
Mis à jour
16 janvier 2019
Le gouvernement français prépare l'après-Carlos Ghosn à la tête du groupe Renault et a demandé une réunion du conseil d'administration pour examiner les candidats à la succession du PDG, ont dit à Reuters plusieurs sources proches du dossier.
Le dirigeant est toujours incarcéré depuis le 19 novembre au Japon où il est soupçonné de malversations financières et d'abus de confiance. Le 15 janvier, la justice japonaise a rejeté une nouvelle demande de libération sous caution.
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Une réunion du comité des nominations de Renault
Le constructeur automobile doit convoquer une réunion de son comité des nominations, qui sera suivie par une session du conseil dans son entier dimanche 20 janvier, ont indiqué le 15 janvier trois personnes au fait du processus.
L'État français, principal actionnaire de Renault, a jusqu'ici soutenu la décision du groupe de maintenir Carlos Ghosn dans ses fonctions, optant à la place pour une direction intérimaire après l'arrestation du PDG en novembre au Japon sur des accusations de malversations financières chez Nissan. Ce changement d'attitude du gouvernement fait suite à une nouvelle inculpation pour deux chefs d'accusation supplémentaires au Japon.
Des représentants du gouvernement au Japon
Au même moment, plusieurs représentants du gouvernement français se rendent au Japon pour échanger avec les "protagonistes du dossier Renault-Nissan", selon des informations du Figaro. Parmi ces représentants : Martin Vial, directeur général de l'Agence des participations de l'État (APE) et Emmanuel Moulin, directeur de cabinet du ministre de l'Économie Bruno Le Maire. Ils devraient arriver à Tokyo dans la nuit du 15 au 16 janvier.
Qui sont les favoris ?
Ce n'est pas la première fois que le remplacement de Carlos Ghosn est évoqué. En décembre, le président de Michelin, Jean-Dominique Senard, aurait fait partie des favoris du gouvernement pour succéder au PDG.
Selon une source de Reuters, Didier Leroy, vice-président exécutif de Toyota, faisait aussi partie des pistes envisagées par le gouvernement à ce moment.
Avec Reuters (Édité par Wilfrid Exbrayat)
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