Le contrôle qualité, dernier frein à l’arrivée de l’impression 3D dans les usines
La fabrication additive arrive dans les usines, mais son adoption totale est bloquée par un manque de contrôle qualité.
Mis à jour
10 octobre 2019
La fabrication additive est sur le point de prendre sa place dans les chaines de production. Mais un blocage persiste. Le contrôle des procédés de fabrication et des pièces, indispensable à leur certification industrielle, n’est pas encore au point, affirment les experts réunis lors du Congrès international de métrologie, qui se tenait fin septembre à Paris.
Maîtrise parfaite des procédés
A l’heure actuelle, le contrôle de l’impression 3D métal (celle qui porte le plus de promesses pour l’industrie) se fait au niveau des procédés et des pièces. Les procédés, que ce soit la fusion laser sur lit de poudre ou la fonte d’un filin par arc électrique (arc-fil), offrent un avantage indéniable : au cours de la fabrication, il est possible d’observer chaque couche du produit. Donc de détecter n’importe quel défaut avant que la pièce soit terminée.
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