"Le capital de Suez restera majoritairement français", assure Diane Galbe, sa directrice générale adjointe
Trois jours après la tentative de réchauffement des relations entre Suez et Veolia et la mise au point du PDG de Veolia, Diane Galbe, la directrice générale adjointe de Suez en charge de la business unit Smart and environnemental solutions, apporte des précisions à l’Usine Nouvelle.
L'Usine Nouvelle. - Après ces batailles juridiques sans fin, qu’est-ce qui a motivé Suez pour tenter la paix des braves ?
Diane Galbe. - C’est une main tendue à Veolia pour tenter de sortir de cette crise par le haut. Avec la situation sanitaire et économique que nous traversons, il était impératif de débloquer la situation et de commencer à dialoguer.
Oui, mais dialoguer sur quoi ? Antoine Frérot a réaffirmé qu’il n’y avait qu’un seul projet, le sien, et Bertrand Camus, le directeur général de Suez, a bien indiqué qu’il s’agissait de discuter pour renforcer les deux groupes. Comment sortir de l’impasse ?
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