Le calcul intensif dans le cloud, ça ne prend pas
Malgré les avantages de capacité, flexibilité et coût, le cloud peine à percer dans le calcul intensif. Selon le cabinet Intersect360, il ne devrait pas représenter plus de 10 % du marché du calcul intensif à l’horizon 2025… au grand bonheur des constructeurs de supercalculateurs HPE, Dell, IBM, Lenovo ou encore Atos.
Le cloud offre des capacités virtuellement illimitées de calcul et stockage de données, accessibles à la demande. Certains y ont vu le moyen rêvé de démocratiser la simulation par le calcul intensif. Le moins que l’on puisse dire c’est que la mayonnaise ne prend pas. Les projets comme ceux lancés au début des années 2010 par SGI (aujourd’hui HPE) ou Bull (aujourd’hui Atos) ont presque tous échoué ou avorté.
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