L'e-commerce et les places de marché
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Sommaire
RETOURS GAGNANTS POUR SAP ET PEOPLESOFT
e-commerce
Vente en ligne LE DILEMME DES MARQUES
Relation Client L'"e-mail marketing" pour PME
Itipi : Tester la montée en charge de sites web
Covisint dopé par le soutien de PSA Peugeot Citroën
e-commerce
Créer son catalogue en ligne
Mieux vendre grâce aux jeux
Troquer ses surplus en ligne
Investissements industriels
Places de marché : Industry Suppliers en panne de financement
Location : Du logiciel aux services Web
Investissements industriels
Places de marché : pas facile de trouver le bon modèle
La signature électronique sur la ligne de départ
Ariba chasse sur les terres d'i2
Industrie
Comment acheter sur les places de marché
Investissements industriels
Internet : qui trouve encore des capitaux ?
Investissements industriels
Usinor, Rhodia, Schneider et TMM, ensemble sur le Web
Les enchères en ligne sous la coupe d'Ebay
De nouveaux outils pour sécuriser les paiements sur le net
Des cybermarchés sur les intranets
L'essor des ventes sous marque blanche
e-commerce
Pixibox mise sur les coupons virtuels
XML, langage phare de l'e-business
FreeMarkets tente d'associer conseil et enchères en ligne
Les tendances s'affichent sur le Net
Investissements industriels
KoobuyCity Rien ne sert de courir...
Pepsi remporte la bataille de la soif
Un cybermarché dédié aux fournitures
e-commerce
Places de marché : veiller aux garanties
Technos et Innovations
Ariba dopé par l'essor des places de marché
Renault veut communiquer on line
La location d'applications peine à décoller
WelcomeOffice met les fournitures de bureau en ligne
Commerce
Jacquet Industries mise sur l'e-commerce
Séduire les seniors
CanalCE.com cible les CE
Premières difficultés pour Priceline
Investissements industriels
Un procès à défaut de stratégie Internet
Le nouvel espéranto du Web
L'e-printing veut séduire les PME
La confiance dans l'Internet passe par des normes spécifiques
Agro
Les industriels de l'agroalimentaire s'affrontent sur le Net
Technos et Innovations
Places de marché : Qui sera le leader du 'B to B' ?
Un standard à vocation universelle
Telemarket tire profit de son expérience du Minitel
Orange Art mise sur le "B to B"
Auchan se lance, Carrefour lève le pied
Commerce
L'e-commerce adopte les mini-messages
Éco - social
La saga d'Amazon continue avec la vente de voitures
Une place de marché au secours des CE
Les 'Beenz' à l'assaut du Web
Jouer, gagner, acheter
De nouveaux initiateurs d'achats
Technos et Innovations
Les Webcoupons s'échangent
Textile - Habillement
Le textile dopé par Internet ?
L'immobilier muscle son offre
Se former en ligne
SAP en pleine période de transition
Investissements industriels
Invensys sauve Baan de la faillite
Assurer ses transactions
Commerce
Chimie : Création d'une nouvelle plate-forme d'e-commerce
Sécurité : Certifier pour acheter en toute sécurité
Investissements industriels
Les premiers développements de l'" e-chimie "
Déstocker sur Internet
Commerce
Les marchés entrent dans l'ère de l'e.commerce
Commerce
E-commerce : Choisir son système de paiement (07 novembre 2001)
La " révolution Internet " provoque une forte rupture culturelle
Commerce
La Carte bleue perd son crédit
Produits culturels
Commerce
e-Commerce en France
Des robots pour comparer
Equipement de sécurité
Se prémunir contre les risques de piratage
Indicateur : Le bond en avant du capital-risque
Consommation
Biens de consommation
Les systèmes communiquent grâce à Iona
Informatique
Informatique : Sage mise sur Ubiquis pour gagner Internet
Le B-TP tisse sa toile
Investissements industriels
Internet envahit la mécanique
Investissements industriels
Achats : Les concurrents surfent sur les mêmes pistes
Investissements industriels
Internet rebat les cartes de la logistique
Commerce
Commerce électronique : Toujours plus de ventes en ligne
Investissements industriels
Acheter ou vendre son électricité : tout va bouger
Le prix de la fidélité
Flexicom multiplie les devises
Commerce
Trintech, pionnier du m-Commerce
Baltimore Technologies, l'expert en sécurité
Les constructeurs se cherchent un modèle Internet
Profiter de l'affiliation
e-commerce
Internet : Premier avertissement sans frais
Les clients parlent aux clients
Investissements industriels
Moins de casse, mais de nouveaux risques
Un profil universel des internautes
Dans le creux de la vague
Télécoms
L'accord Vivendi-Vodafone décrypté
Commerce
BEA Systems le 'plombier' de l'e-commerce
Le langage XML décloisonne l'informatique
Alaxis adapte son offre à l'internaute
Internet se paie Hollywood
Le Web fait sa publicité
Investissements industriels
La Poste : Gros défis, petits moyens
Autodesk se refait une santé sur Internet
Technos et Innovations
Intégrer la biométrie
L'industrie passe à l'ère post - PC
Investissements industriels
Quand les industriels jouent les capital-risqueurs
Année test pour l'e-Noël
Investissements industriels
Le pari de l'explosion des services sur les mobiles
Rassembler pour moins payer
Les cartes à puce de seconde génération en pleine effervescence
La Fnac à fond sur le Web
L'Hexagone et le 'New Age'
Le Web s'immisce partout
Investissements industriels
SAP joue son avenir sur Internet
Le 'B to B' fait son marché
Commerce
Quels transporteurs pour l'e.commerce ?
Trois manières d'organiser et de gérer ses flux
Transports et logistique
Quelle logistique pour les achats en ligne ?
Technos et Innovations
Un bureau virtuel sécurisé
PPR se dote d'une filiale Internet
Investissements industriels
Thomson Multimédia Les clés du redressement
Parer aux trous de mémoire
Commerce
La Poste s'adapte au commerce en ligne
Les réseaux d'affiliés stimulent les ventes
Des sites et des chartes
La signature électronique bientôt reconnue
Sun joue la carte de la gratuité sur Internet
Les sites veulent rassurer les internautes
Investissements industriels
Créer son business avec Internet
Investissements industriels
Pluie d'euros sur les entreprises Internet
Les trois défis Internet de Compaq
Internet : la cryptologie en voie de libéralisation
Investissements industriels
Sophia-Antipolis en quête d'un nouveau souffle
Une boutique virtuelle en kit et en ligne
Les nouveaux risques informatiques
La nouvelle poule aux oeufs d'or
Imediation 'booste' la cyberdistribution
Commerce
Les réseaux anticipent l'explosion du commerce électronique
Des services sur les téléphones portables
Porte-monnaie électronique : vers une standardisation
Commerce
SAP se lance dans le commerce électronique
Auto
Automobile : Les constructeurs européens accélèrent sur le Web
Comment Internet bouleverse l'industrie de la musique
L'Internet gratuit fait ses premiers pas en France
Commerce
Un standard pour le commerce électronique
Commerce
La voix du commerce électronique
Les certificats numériques arrivent en France
Des labels de confiance
Le développement du commerce et des échanges électroniques passe par la reconnaissance de la validité juridique de la signature électronique, qui devrait sécuriser le système. Aussi est-elle attendue par tous les opérateurs sur Internet. Un projet de loi sur l'adaptation de la preuve aux technologies de l'information et relatif à la signature électronique a été adopté en Conseil des ministres le 1er septembre 1999. On connaît le principe de base en la matière : si la preuve est libre entre commerçants, le Code civil privilégie la preuve littérale, c'est-à-dire l'écrit signé par son auteur. Le projet de loi propose dans un premier temps de redéfinir la notion de preuve littérale pour l'adapter aux nouveaux supports. Selon le nouvel article 1316, celle-ci résulte " d'une suite de lettres, de caractères, de chiffres ou de tous autres signes ou symboles dotés d'une signification intelligible, quels que soient leur support et leurs modalités de transmission ". L'écrit électronique est donc admis au même titre que l'écrit sur support papier comme mode de preuve. A une condition : que les moyens techniques utilisés permettent d'identifier la personne dont ils émanent et assurent la conservation du message électronique de manière à garantir le maintien de son intégrité. Un écrit électronique qui constate des droits et des obligations et qui porte une signature aura une force probante équivalente à celle d'un acte sous seing privé sur support papier. En cas de conflit entre preuves littérales, le juge déterminera au cas par cas, et en se fondant sur la vraisemblance des éléments qui lui sont soumis, quelle preuve littérale devra l'emporter. D'autre part, le projet de loi consacre le principe de la validité des conventions sur la preuve. La jurisprudence avait de longue date considéré que les règles de preuve n'étaient pas d'ordre public et que les parties à un contrat pouvaient librement définir d'autres moyens dont la valeur probante serait reconnue dans le cadre de leurs seules relations. Garantir son lien avec l'acte Enfin, le projet de loi comble un vide juridique en proposant une définition légale de la signature. Celle-ci a un double rôle : celui d'identifier son auteur et de manifester son consentement à l'acte et aux obligations qu'il contient. Quant à la signature électronique, elle consiste " en l'usage d'un procédé fiable d'identification garantissant son lien avec l'acte auquel elle s'attache ". Le texte proposé précise les conditions qu'une telle signature électronique devra remplir, mais en des termes suffisamment généraux pour permettre une adaptation permanente aux évolutions techniques. Le procédé utilisé est présumé fiable jusqu'à preuve contraire " lorsque la signature électronique est créée, l'identité des signataires assurée et l'intégrité de l'acte garantie, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat ". La Commission a elle-même présenté en avril 1999 un projet amendé de directive européenne sur les signatures électroniques. Lesquelles sont " une signature sous forme numérique intégrée, jointe ou liée logiquement à des données, utilisée par un signataire pour signifier son acceptation du contenu des données, et qui satisfait à un certain nombre d'exigences ". Cette signature doit être propre au signataire, permettre de l'identifier, être créée par des moyens que le signataire puisse garder sous son contrôle exclusif, l'intégrité des données devant être d'autre part assurée. La Commission a également dé- fini la notion de " certificat agréé ", qui constitue une véritable attestation numérique de la signature et qui serait délivré par des tiers dits prestataires de services de certification. La fourniture de ces certifications ne devrait être soumise à aucune autorisation préalable. Une reconnaissance auprès des tribunaux La proposition de directive considère que l'effet ou la validité juridique d'une signature électronique ne doivent pas être contestés au seul motif que la signature se présente sous forme électronique ou qu'elle ne repose pas sur un certificat agréé ou un certificat délivré par un prestataire de services de certification accrédité. Les signatures électroniques reposant sur un certificat agréé délivré par un prestataire de services de certification répondant aux exigences essentielles définies par la directive auront la même valeur juridique qu'une signature manuscrite et devront être admises comme preuve en justice de la même façon que des signatures manuscrites. L'enjeu Assurer la sécurité des échanges électroniques. La solution Mettre en place un système de gestion de la preuve (conventions, cryptologie). La mise en oeuvre Archiver les supports de preuve sur un support fidèle et durable.
Trophée
TROPHÉES DES USINES 2021
100% digital , live et replay - 27 mai 2021
Gestion industrielle et Production
Déposez votre dossier avant le 26 février pour concourir aux trophées des usines 2021
Conférence
MATINÉE INDUSTRIE DU FUTUR
100% digital , live et replay - 27 mai 2021
Gestion industrielle et Production
Comment rebondir après la crise 2020 et créer des opportunités pour vos usines
Formation
Espace de travail et bien-être des salariés
Classe virtuelle - 01 juin 2021
Services Généraux
Optimiser l’aménagement du bureau