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Effervescence sur le marché européen du colis et du courrier. La Poste néerlandaise, TPG, vient de s'allier au logisticien japonais Kintestu. La Poste allemande, Deutsche Post, a acquis en octobre Air Express International, devenant ainsi le leader mondial du fret aérien. De leur côté, les " expressistes ", profitant de la libéralisation et de la mondialisation des échanges, montent en puissance. Ainsi, le géant américain du transport express UPS (150 milliards de francs de chiffre d'affaires, 10 milliards de résultat) vient de faire une entrée fracassante à la Bourse de New York : il a été valorisé à plus de 350 milliards de francs ! Et s'est offert, le 13 décembre, sur le marché français, Finon Sofecome, spécialiste de la logistique industrielle (411 millions de francs de chiffre d'affaires). Pendant ce temps-là, notre Poste nationale traîne la patte. Elle n'a investi que 2,3 milliards de francs dans le rachat d'entreprises de messagerie et de logistique, contre 30 milliards pour la Poste allemande et 11,5 milliards pour la poste néerlandaise. Hors course ? Gérard Larcher, vice-président du Sénat et président du groupe sénatorial d'étude sur l'avenir de La Poste, ne cesse d'alerter. En 1998, il publiait un premier rapport : " Sauver La Poste : devoir politique, impératif économique ". Faute d'être entendu, le sénateur a récidivé en juin dernier. Titre de son dernier rapport : " Sauver La Poste : est-il encore temps pour décider ? ". Sa conclusion : " Demain, il n'y aura pas de réelles perspectives de développement pour une Poste nationale sans taille critique, sans réseau planétaire et sans capacité capitalistique. Les Postes néerlandaise, allemande et britannique l'ont compris, et elles ont pris les moyens de s'affirmer sur ce nouveau marché postal mondial. "
Le privé se déchaîne sur les créneaux porteurs
Pas de doute, l'étau se resserre autour de l'opérateur français. Le large monopole sur lequel il était assis fond comme neige au soleil. La directive postale européenne a réduit cette année de 1 kilo à 350 grammes le monopole postal sur les envois. Certes, la déréglementation totale du secteur postal n'est prévue que pour 2003. Et le courrier reste encore partiellement protégé par le monopole de la distribution. Mais, d'une part, les nouvelles technologies lui taillent des croupières (lire page 56). Et, d'autre part, sur les marchés de l'express et du colis, entièrement libéralisés, la bagarre redouble d'intensité. Les acteurs privés se déchaînent. Parce qu'il s'agit de créneaux à forte valeur ajoutée. Mais aussi parce que les taux de croissance dépassent les 10 %. Flux tendu, prestations à valeur ajoutée, nouvelles technologies génèrent une multiplication de commandes et de livraisons. Le marché du colis en Europe de l'Ouest est évalué aujourd'hui à 190 milliards de francs. Et celui de l'express, avec 148 milliards de francs, vient de dépasser les Etats-Unis. Enfin, sur ces marchés, la mondialisation s'accélère. Conscientes de l'enjeu, les Postes européennes ont eu tôt fait de passer à l'offensive. Partie en tête, la néerlandaise, transformée en société anonyme en 1989 et privatisée en 1994, a acheté l'intégrateur australien TNT en 1997. Devenue TNT Post Group (TPG), elle a été la première société postale au monde introduite en Bourse en 1998. En deux ans, TPG aurait racheté vingt-quatre entreprises d'express, colis et logistique pour 11,5 milliards de francs, augmentant son chiffre d'affaires de 11,8 milliards de francs. Sa stratégie est ciblée : disposer d'un réseau intégré et capitaliser ses savoir-faire sur des secteurs industriels comme l'automobile. La Deutsche Post, elle, ratisse tous azimuts, quitte à passer pour boulimique aux yeux de ses détracteurs. En trois ans, elle a acquis plus de 60 milliards de francs de chiffre d'affaires. Klaus Zumwinckel, son président, nourrit l'ambition d'en faire " la première entreprise mondiale de logistique ", avec une palette complète de services. D'où des rachats aussi différents que celui de Danzas, le logisticien suisse, du messager français Ducros Services rapides, ou encore la prise de participation de 22,5 % dans l'expressiste DHL, mais qui s'inscrivent dans la ligne d'une offre globale. Dès 1994, la Poste allemande s'est donné les moyens de son expansion en se transformant en société anonyme. Et, en juillet 2000, elle devrait faire son entrée en Bourse. Retardataire, la Poste britannique fourbit elle aussi ses armes. Début 1999, le Post Office Group, établissement de droit public dont les réserves financières sont estimées à 10 milliards de francs, a acquis German Parcel, quatrième réseau allemand de colis, pour 3 milliards de francs, et la société allemande de messagerie Der Kurier. " C'est un premier pas à l'international ", a annoncé son président, qui souhaite investir 15 milliards de francs dans des acquisitions à l'étranger. Et, pour ce faire, il prépare le Post Office Group à devenir une société anonyme à capitaux publics. Pourquoi La Poste française n'emboîte-t-elle pas le pas de ses concurrents européens ? Premier handicap : elle n'a pas d'argent. " Un étudiant en première année de CAP comptable est capable de voir notre problème en lisant notre bilan. Nous n'avons aucuns fonds propres ", reconnaît Claude Bourmaud, son président. Farouchement opposé à l'augmentation du droit de timbre pour financer son développement, il parie sur la seule marge brute d'autofinancement - estimée à 5 milliards pour 1999 - et sur le patrimoine immobilier. Deuxième handicap : non seulement La Poste n'est pas très riche, mais elle doit aussi faire face à des charges estimées à plus de 8 milliards de francs par an. Enfin, troisième handicap : son statut d'établissement public l'empêche de lever des fonds pour faire ses emplettes. Et l'oblige à en référer constamment à sa tutelle. " Nous n'avons pas le métronome. Nous ne sommes que gestionnaires. Cela dit, nous ne pouvons pas être différent des autres en Europe ", observe sobrement Claude Bourmaud. Façon de rappeler qu'il n'aurait rien contre un changement de statut. Las, celui-ci n'est pas à l'ordre du jour de l'actuel gouvernement. Pourtant, il existe des solutions. " Prendre 3 % du capital de France Télécom et le réinjecter à La Poste, suggère un proche du dossier, permettrait de sortir de l'impasse. "
Une marge de manoeuvre limitée par son actionnaire
Faute d'apport financier et d'une stratégie claire de son actionnaire, La Poste n'a d'autre solution qu'une politique de petits pas dans ses trois métiers : courrier, services financiers, colis et logistique. Côté courrier, mission de service public, 3 milliards de francs ont été investis en 1998 dans la modernisation du réseau, et 600 établissements ont été créés en zone urbaine, dont plus de 10 % dans des quartiers sensibles. Des " commissions départementales de présence postale territoriale ", composées d'élus et de représentants de La Poste, ont été mises en place par le contrat de plan pour trouver des formes de mutualisation nouvelle. " La Poste ne pourra rester seule partout sur l'ensemble du territoire et en supporter durablement seule les coûts ", reconnaît Claude Bourmaud. Bref, dans son métier de base, elle est écartelée entre sa mission de service public et un environnement de plus en plus concurrentiel. " Chaque Français lit dans la signature de La Poste ses propres attentes, et, dans le même temps, elle doit savoir répondre à celles de grands clients industriels ", reconnaît Claude Bourmaud. Rappelant que 90 % du chiffre d'affaires courrier sont réalisés avec les entreprises. Côté financier, même topo. D'un côté, une mission de service public : assurer la fonction de guichets bancaires pour les plus démunis. De l'autre, des activités d'épargne, de placements et d'assurances très concurrentielles. Exemple : en 1998, La Poste a pris 20 % de la CNP. La coopération entre les deux entreprises s'en trouve renforcée. Dans le domaine de l'assurance-vie, La Poste dispose désormais d'un encours de près de 260 milliards de francs. Et elle tente d'innover dans des domaines délaissés par les compagnies d'assurance, comme, par exemple, le lancement de nouveaux produits de prévoyance.
Stratégie défensive en France et poussive en Europe
Enfin, dans le colis et la logistique, son troisième métier, plus largement ouvert à la concurrence, La Poste cherche à défendre son territoire face à l'agressivité de ses voisins. Un premier pas a été franchi cette année avec la création du holding Colis et Logistique, regroupant toutes les filiales spécialisées (Chronopost, Tat Express, Publi-Trans, Eurodispatch, Soficolis). Objectif à court terme : ouvrir son capital et se rapprocher de la filiale transport et logistique de la SNCF, Géodis, cotée au second marché et jeune héritière du Sernam. Cette alliance, qualifiée " d'industrielle " par les patrons de La Poste et de la SNCF, en pleine discussion sur ses modalités, permettrait de trouver des synergies. Elle aurait également le mérite de placer La Poste sur des métiers que possèdent ses concurrents DPAG et TPG, notamment les prestations logistiques de haut niveau. Enfin, intérêt majeur, l'opération permettrait de lever des fonds et procéder à des acquisitions. Il y a urgence. Pour l'instant, sur le marché européen, La Poste a modestement riposté à la frénésie d'achat de ses voisins, en reprenant, l'an dernier, Denkhaus, pierre angulaire du réseau de transport monocolis Deutsche Parcel Distribution (DPD) et deux autres sociétés de ce réseau. Elle a également conclu un accord avec l'opérateur postal espagnol.
Alliance internationale imminente
Faute d'argent, mais pour ne pas se laisser trop fortement distancer, elle cherche aussi une alliance à l'international... depuis plus d'un an ! Car La Poste est exigeante : " Nous voulons garder notre place de troisième opérateur européen sur le colis et nous développer de façon intégrée. L'acteur mondial avec lequel nous souhaitons passer un accord doit respecter notre position en Europe, tout en permettant d'intégrer nos systèmes d'informations. De surcroît, cet accord ne doit pas permettre à l'opérateur de se positionner sur notre propre territoire et nous concurrencer ", déclare Bertrand de Mascarel, président du holding Colis et Logistique. Pour l'heure, La Poste fait les yeux doux à UPS, qui ne dispose pas encore d'une assise très solide en Europe. Est-ce du géant américain dont il est question quand Claude Bourmaud promet l'annonce d'une alliance internationale dans moins de cent jours ? Quoi qu'il en soit, La Poste sera encore loin des dizaines de milliards d'acquisitions de ses concurrentes. Alors, la direction générale, appelant à son secours Jean de La Fontaine, évoque la fable du lièvre et de la tortue ; elle assure que les dés ne sont pas jetés ; s'avoue bluffée par les rachats de la Deutsche Post, tout en lui prédisant une indigestion ; et rappelle avec fierté la création de Chronopost en 1986, bien avant ses voisins. On se console comme on peut... en attendant que les politiques veuillent bien fixer le cap. " Le gouvernement peut-il demander à La Poste d'autofinancer son développement international sans revoir ses charges d'intérêt général et ses spécificités juridiques ou statutaires ? ", interroge inlassablement le sénateur Gérard Larcher. Réponse de Christian Pierret, le ministre de tutelle : " La Poste doit être un service public à visage entrepreneurial, tourné vers l'international. " Traduction : " Il y a encore des gens au gouvernement qui pensent que La Poste peut devenir toute seule un géant ", ironise un spécialiste du dossier, qui a également suivi de près la privatisation de France Télécom. Et de rappeler que sur le front électoral, La Poste pèse deux fois plus lourd que l'opérateur de téléphone. Et que ses dirigeants sont bien davantage jugés sur le climat social que sur leurs résultats économiques.
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