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PSA et Opel, c'est parti !
La famille Peugeot soutient le rapprochement entre PSA et Opel
La famille Peugeot, qui détient 13% du capital du constructeur, a manifesté son soutien à Carlos Tavares dans sa tentative de rapprochement avec l'Allemand Opel.
Mis à jour
22 février 2017
C’est un oui. Selon Les Echos, les instances représentatives de la famille Peugeot ont accordé leur soutien mardi 21 février à Carlos Tavares, président du directoire de PSA, dans le cadre de l’alliance potentielle avec l’Allemand Opel. Après une présentation, les deux holdings FFP et EPF qui représentent les intérêts de la famille Peugeot ont accepté le projet. A eux deux, ils détiennent 13% du capital du constructeur, soit autant d'une part que l'Etat et que le chinois Dongfeng d'autre part.
La réaction est assez logique au regard de l’œil favorable que porte la famille Peugeot sur Carlos Tavares, qui a réussi à redresser le groupe. En cas de concrétisation de l’opération, les différents actionnaires pourraient toutefois être "légèrement dilués" affirme Les Echos.
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Une demi-heure avec Merkel
Pour le président de PSA, il s’agit d’une validation supplémentaire dans sa démarche de rapprochement avec Opel. Mardi 21 février, Carlos Tavares s’est entretenu avec la chancelière allemande Angela Merkel. Une "discussion fructueuse" de plus d’une demi-heure au cours de laquelle le patron de PSA a réaffirmé ses engagements.
Mercredi 22 février le gouvernement d'Angela Merkel a officiellement annoncé vouloir "accompagner de manière positive" les discussions en vue du rachat d'Opel par PSA.
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