La direction et les syndicats de Nokia reçus jeudi à Bercy
Avec
\ 10h21
Avec
"Nokia s'est engagé suite au rachat d'Alactel-Lucent en 2015 et 2016 d'embaucher notamment 500 personnes, dans les secteurs de la recherche et du développement. Manifestement le compte n'y est pas", a-t-il dit sur France inter.
"On ne peut pas dire il y a moins de deux ans au ministre de l'Economie et des finances qu'on va procéder à des embauches, et deux ans plus tard supprimer 600 emplois et ne pas avoir procédé aux embauches nécessaires", a-t-il ajouté.
Nokia a annoncé la semaine dernière qu'il pourrait supprimer 597 postes en France d'ici fin 2019 dans les fonctions centrales et support dans le cadre d'un plan de transformation qui ne concerne pas les services de recherche et développement (R&D).
Les sites de Paris-Saclay/Boulogne et de Lannion (Côtes-d'Armor) seraient concernés par le projet de transformation mais les filiales Radio Frequency Systems (RFS) et Alcatel Submarine Networks (ASN) en sont exclues.
(Marine Pennetier, édité par Yves Clarisse)