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La CFDT de Renault refuse l'accord compétitivité de la direction en l'état actuel
La CFDT de Renault a annoncé lundi 11 février qu'elle refuserait de signer un accord de compétitivité sur "les bases des exigences actuelles de la direction", à la veille de la dernière journée de négociations avec le constructeur automobile. Le syndicat CFE-CGC, majoritaire chez Renault, avait annoncé vendredi 8 février qu'il ne signerait pas lui non plus l'accord de compétitivité en cours de négociation avec la direction.
Alors que la dixième et dernière journée de négociations s'ouvre ce mardi 12 février entre syndicats et dirigeants de Renault, la CFDT a indiqué qu'elle refuserait de signer un accord de compétitivité sur "les bases des exigences actuelles de la direction".
"Devant l'attitude de blocage adoptée par la direction au cours de la réunion du 5 février dernier, la CFDT confirme qu'elle refuse de signer un accord sur les bases des exigences actuelles de la direction", explique ainsi le syndicat dans son communiqué.
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Face aux propositions de la direction, la CDFT rappelle ses exigences : un engagement précis sur l'augmentation des volumes de production d'ici à 2016, l'abandon du caractère obligatoire dans le cadre des détachements d'un site à l'autre, une indexation de la part variable des rémunérations du top management sur les résultats de ses objectifs de changement, mesurables par des indicateurs précis, le respect des 35 heures "sans dégrader les conditions de travail" et l'engagement de Renault dans une stratégie de développement et d'investissements de l'activité dans ses sites français et dans la filière automobile régionale.
CFE-CGC également opposée à la direction
Le syndicat CFE-CGC, majoritaire chez Renault, avait annoncé vendredi 8 février qu'il ne signerait pas lui non plus l'accord de compétitivité en cours de négociation avec la direction s'il n'obtenait pas les éléments sur les augmentations de volumes de production rendant crédible un maintien de l'activité des sites français du constructeur automobile.
Un mauvais signe en vue de la signature d'un accord alors que la direction souhaiterait que les négociaitons s'achèvent avant la fin du mois de février ? Pour être valide, le texte doit en effet être signé par des syndicats représentant au moins 30% des salariés. Au dernier décompte, la CFE-CGC pesait 29,67%, la CGT 25,16%, la CFDT 19,13% et FO 15,62%. Il est toutefois susceptible d’être dénoncé par des syndicats représentant 50% des salariés. Mais certains syndicats et la direction contestent ces différentes conditions nécessaires à la conclusion d'un accord, ce qui donne lieu à une bataille de juristes.
Julien Bonnet
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