L'impression 3D fait son chemin dans la sous-traitance aéronautique
Avec des applications qui évoluent sans cesse, les imprimantes 3D partent à la conquête industrielle de l'aéronautique. Aeronewstv a rencontré le directeur d'Aurore Arka, un sous-traitant aéronautique qui a suivi le mouvement.
De 50 000 à 100 000 euros pour s'équiper avec une imprimante 3D. Tous les sous-traitants aéronautiques français ne sont pas encore prêts à franchir le pas de l'impression 3D, mais avec l'évolution des applications et des techniques, elles sont nombreuses à prendre le pli.
La technique de l'impression 3D existe depuis une quinzaine d'années, mais elle est depuis deux ans en pleine démocratisation. Aurore Arka, une petite entreprise de sept salariés sous-traitante dans l'aéronautique, a décidé d'investir.
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Elle fabrique aujourd'hui des éléments de décoration intérieure de jet privé et des pièces de protection pour les chaînes d'assemblage d'avions. Si, pour le moment, elle ne peut réaliser que des prototypes, l'impression de pièces en 3D pourra bientôt lui permettre de se passer d'outillage, et donc de faire de véritables économies.
Vidéo réalisée par Aeronews tv, 1ère webtv dédiée à l’aéronautique
L'impression 3D fait son chemin dans la sous-traitance aéronautique
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