L'État pourrait revoir sa copie sur la taxe EBE
La taxe ne devrait plus porter sur l'excédent brut d'exploitation, mais sur celui-ci après déduction des amortissements et des frais financiers. Cela permettrait de limiter l'impact sur l'investissement. Ce nouvel impôt fait partie des pistes privilégiées par le gouvernement pour le budget 2014. Fin septembre, l'Union des industries chimiques (UIC) avait officiellement demandé au gouvernement de renoncer à cette taxe. Elle concernerait environ 200 entreprises chimiques générant un chiffre d'affaires de plus de 50 millions d'euros par an.