Tout le dossier Tout le dossier
-
Start-up deeptech
Damae Medical détecte le cancer de la peau grâce à la lumière
-
Santé - Pharma
Integragen développe le Google Chrome des données génétiques
-
Santé - Pharma
DNA Therapeutics invente une molécule anti-cancer
-
Santé - Pharma
L’équipe Paris Bettencourt utilise la technologie Crispr pour lutter contre la tuberculose
-
Biotechs
Des étudiants bordelais transforment la bactérie E.coli en Elasti-coli
-
Santé - Pharma
Diamlite veut révolutionner le diagnostic clinique avec ses nanodiamants fluorescents
-
Fabrication additive
OsseoMatrix crée des os sur mesure par impression 3D
-
Santé - Pharma
Billat Training veut améliorer les performances physiques des sportifs
-
Santé - Pharma
Centaure Metrix aide au diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer
-
Santé - Pharma
L’AFM-Téléthon veut industrialiser des « gènes médicaments »
-
Start-up deeptech
Wandercraft fabrique un exosquelette de jambe pour les paraplégiques
-
Santé - Pharma
Le CEA-List veut faire remarcher les tétraplégiques grâce à son exosquelette EMY
-
Santé - Pharma
L’unité histopathologie de l’institut Pasteur veut reconstituer des organes à l’aide de cellules souches
-
Santé - Pharma
L’Institut de la Vision veut restaurer la vue de certains malvoyants
-
Santé - Pharma
L’unité perception et mémoire de l’institut Pasteur cherche à commander les neurones par la lumière
-
Micro-électronique
A Marseille, l’Inserm invente une électrode 100% biocompatible pour mieux mesurer le cerveau
-
Santé - Pharma
L’ISSB veut créer des alternatives artificielles à l’ADN
-
Start-up deeptech
La start-up Kallistem veut mettre fin à la stérilité masculine
-
Santé - Pharma
Le LNEC greffe des neurones à une souris
-
Santé - Pharma
L’INM concocte une micro pompe pour lutter contre la surdité
-
Production
Haption développe un exosquelette pour ressentir l’effort
-
Santé - Pharma
L’Hôpital Saint-Louis artisan d’un pansement cardiaque
-
Santé - Pharma
Le Lioad veut utiliser des vers marins pour reconstruire les os
-
Santé - Pharma
Cellectis : l’ingénierie du génome pour révolutionner la lutte contre le cancer
-
Biotechs
GenoSplice crée des algorithmes pour trouver LA donnée génétique pertinente
-
Biotechs
L’alsacien Defymed fabrique un pancréas artificiel
-
Production
Exhauss développe des exosquelettes pour des ouvriers augmentés
-
Santé - Pharma
Le CRCA de Toulouse réactive les capacités de mémoire
-
Biotechs
CellProthera régénère le muscle cardiaque
-
Santé - Pharma
Carmat architecte de cœurs bio-artificiels
-
Biotechs
Bionicohand développe une main bionique en Open Source
-
Santé - Pharma
Miroslav Radman veut repousser la mort
-
Numérique
Axilum Robotics participe à la première expérience de télépathie
-
Nanotechnologies
Clinatec veut faire remarcher les tétraplégiques grâce à un nano-implant
-
Santé - Pharma
Mensia Technologies permet de contrôler des commandes par la pensée
-
Production
L'exosquelette Hercule ménage les ouvriers
-
Santé - Pharma
Feeligreen invente un patch connecté pour combattre les rides
-
Start-up deeptech
Hemarina fabrique du sang artificiel à partir de vers marins
-
Start-up deeptech
Poietis veut imprimer du vivant
-
Start-up deeptech
Pixium Vision crée une rétine artificielle
L’AFM-Téléthon veut industrialiser des « gènes médicaments »
[Associations - projets]
En 2013, l’AFM-Téléthon a ouvert le centre Généthon BioProd , une structure de 5 000 mètres carrés dédiée à la production, en grandes quantités, des « gènes médicaments ».
Cette approche consiste à utiliser des virus, rendus inoffensifs, pour transporter à un endroit précis un gène correcteur, copie fonctionnelle du gène déficient des cellules à traiter. Ce type de gènes est aujourd’hui très facilement synthétisé par des entreprises spécialisées dans la synthèse de séquences d’ADN. Le gène-médicament est injecté en grande quantité dans le sang, à partir duquel le virus peut "insérer" le gène correcteur dans les cellules. Sans toucher au gène déficient, le plus généralement par défaut d’expression, le gène correcteur apporte la fonction manquante.
VOS INDICES
source
Pour soigner même un seul patient, le nombre de cellules à cultiver est énorme. Ce qui pose un vrai défi en termes de production. Afin de produire la quantité nécessaire de gènes médicaments, l’association a mis au point de nouveaux procédés. Les chercheurs ont, par exemple, inventé des cellules qui n’ont plus besoin d’adhérer à un support, et peuvent survivre en suspension. Elles sont alors cultivables dans des bioréacteurs, dont les chercheurs du Généthon ont optimisé en laboratoire les conditions de culture dans des bioréacteurs de 2 litres puis un bioréacteur de 200 litres. A pleine capacité, le centre pourra produire près de trente lots cliniques de gènes-médicaments par an.
PARCOURIR LE DOSSIER