[Interview management] "Les surdiplômés, une génération du concret, de l'initiative", affirme le journaliste Jean-Laurent Cassely
Dans « Génération surdiplômée »*, coécrit avec Monique Dagnaud, le journaliste et essayiste Jean-Laurent Cassely remet en perspective le rapport des bac + 5 à l’entreprise.
Que revêt l’emploi du terme « talent » pour désigner les surdiplômés au cœur de votre ouvrage ?
Monique Dagnaud et moi avons écrit sur le rôle et la place qu’occupent les plus diplômés dans la société. Soit les 20 % dotés d’un master universitaire ou d’un diplôme de grande école, qui n’ont jamais été aussi nombreux. À force d’observations dans les lieux d’innovation, nous avions l’intuition que ce que l’on attendait des profils de premiers de la classe avait changé.
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