Diminution de l’empreinte carbone, réduction de la facture énergétique et augmentation de la productivité. Les entreprises qui sont passées de l’impression laser à la technologie jet d’encre en tirent un triple bénéfice. Explications.
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Le dernier rapport du Giec a rappelé l’urgence à limiter le réchauffement climatique de notre planète. À leur niveau, les entreprises peuvent contribuer à l’effort commun en diminuant très concrètement leur empreinte carbone. Il leur suffit d’optimiser leur poste impression (imprimantes, copieurs) qui représente en moyenne 10 % de leur consommation d’énergie. Le passage de l’impression laser à la technologie jet d’encre peut, selon des tests indépendants lancés par Epson, réduire jusqu’à 96 % cette consommation.
Avec de fortes économies à la clé. Selon une autre étude d’Epson, si les entreprises européennes faisaient le choix du jet d’encre elles économiseraient, d’ici 2020, 176 millions d’euros sur leur facture d’énergie et émettraient 333 041 tonnes de CO2 de moins. Pour la France, la baisse sur la facture serait de 30 millions d’euros. « La consommation d’énergie fait partie des coûts cachés du poste impression, note Thierry Bagnaschino, directeur marketing d’Epson France. Les entreprises ont tendance à se focaliser uniquement sur le coût d’acquisition et le coût par page. Pour ce dernier, la technologie jet d’encre est comparable au laser. »
Technologie mature apparue dans les années 70, l’impression laser domine encore le marché français. La transition vers le jet d’encre est toutefois amorcée avec une progression annuelle de 16 %. Epson qui réalise déjà 90 % de ses ventes en jet d’encre aimerait convaincre ses clients d’arrêter d’installer des mécaniques laser. Le constructeur japonais a déjà investi 185 millions d’euros dans le développement de sa technologie PrecisionCore dédiée au jet d’encre professionnel.
Plus rapide, plus propre
Si le laser offre une bonne qualité d’impression, la technologie traîne, en revanche, un certain nombre de défauts. Complexe à fabriquer, une imprimante nécessite beaucoup de matières premières. Elle est aussi très énergivore en exploitation. Un modèle laser doit « chauffer », son toner requérant une très haute température de fusion. La technologie jet d’encre, elle, éjecte en continu des gouttelettes d’encre, sans aucune chauffe.
« Cette nécessaire montée en température de l’impression laser augmente d’autant le temps de sortie du document », explique Thierry Bagnaschino. Selon Epson, ses imprimantes jet d’encre WorkForce Pro sont jusqu’à 3,5 fois plus rapides que les solutions laser concurrentes. Pour que les imprimantes laser redémarrent plus rapidement, des constructeurs placent parfois des détecteurs de présence. Problème, les imprimantes et copieurs laser se réveillent au passage de tout collaborateur et chauffent donc souvent pour rien.
Par ailleurs, l’impression laser dégrade l’environnement de travail en dégageant notamment de l’ozone, un gaz qui irrite les muqueuses et provoque des maux de tête. Mettez un filtre à la sortie du ventilateur d’une laser et il sera bientôt totalement noirci. Ceci n’existe pas avec le jet d’encre. Enfin, de fréquentes manipulations sont nécessaires pour changer le toner, le four, le collecteur ou la courroie de transfert. Selon Epson, le passage au jet d’encre réduit jusqu’à 98 % les besoins d’intervention et de maintenance. Il élimine aussi grandement la question du recyclage des déchets. Le constructeur propose ainsi une réserve d’encre de grande contenance, offrant une autonomie de 80 000 à 100 000 pages. « L’imprimante devient une machine qu’on finit par oublier », conclut Thierry Bagnaschino.
Contenu proposé par Epson.
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