Aujourd'hui, la France a réaffirmé son opposition à toute augmentation du budget européen en réaction à la proposition de la Commission de Bruxelles d'augmenter celui-ci de 6,8% en 2012.
La porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse, a indiqué que la question avait été abordée par Nicolas Sarkozy en conseil des ministres.
"Elle a été l'occasion pour le président de la République de rappeler que son engagement à lui, c'est la stabilité du budget communautaire", a-t-elle dit à la presse.
"Pour nous il est juste impossible, injustifiable et inacceptable que l'Union européenne demande à chacun de ses membres de faire des efforts de réduction des déficits, de réduction des dépenses et qu'en même temps elle propose une augmentation de 7% de son propre budget", a-t-elle ajouté.
"Aujourd'hui nous demandons à l'Union européenne, comme nous le souhaitons pour la France, une gestion rigoureuse et sérieuse."
Cinq pays européens, dont la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, avaient réclamé dès fin 2010 un gel des dépenses communautaires.
Nicolas Sarkozy a inscrit dans son programme présidentiel un gel de la contribution de la France au budget de l'Union européenne (UE), indiquant que la mesure permettrait d'économiser, selon lui, 600 millions d'euros par an.
Avec Reuters
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