[Fusion PSA-Fiat-Chrysler] Pour Faurecia, une nouvelle ère sans constructeur français
En cas de rapprochement avec Fiat-Chrysler, PSA cèderait les 46,34% de parts qu’il détient dans l’équipementier Faurecia. Le fournisseur français perdrait ainsi son actionnaire historique.
Ce serait un effet collatéral de la possible fusion entre Fiat-Chrysler et PSA. En cas de rapprochement entre les deux groupes automobiles, le constructeur tricolore a précisé dans un communiqué publié à la fin du mois d’octobre qu’il "[distribuerait] à ses actionnaires ses 46% de parts dans Faurecia". Une décision qui mettrait fin à la relation de vingt ans entre le constructeur et son équipementier, né en 1998 de la fusion entre la filiale d’équipements ECIA (Équipements et composants pour l’industrie automobile), alors détenue par le groupe PSA, et le producteur de sièges Bertrand Faure.
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